Une vieille copine
Datte: 08/12/2019,
Catégories:
fh,
fsodo,
copains,
Auteur: Yann1981, Source: Revebebe
J’étais dans ma chambre d’hôtel. Elle sonne directement dans ma chambre ; je m’attendais à un coup de fil de la réception. Elle me sourit avec ses jolies blanches parfaitement alignées. Elle est là, toute petite, fine, avec ses belles hanches de gymnaste. Elle est visiblement heureuse de me voir. Elle n’a pas changé.
Je la fais entrer.
— C’est tout petit chez toi ; il fait chaud.
En effet, c’est petit et il fait chaud ; je viens de prendre une douche. Elle s’assoit sur le lit tout à côté de moi ; nos bras se touchent. Nous cherchons une séance de cinéma pour ce soir. J’adore son pull bleu tout doux. Je caresse son pull sur son avant-bras en lui disant :
— Il est doux, ce pull ; il te va bien.
Je pose ma main sur son épaule et la fais descendre doucement le long de son bras gauche.
— Elle est vraiment très agréable, cette laine… lui dis je en souriant.
Elle aussi me sourit et me dit :
— Tu veux me peloter ou quoi ?
— Pardon.
— Remarque, un petit massage, je dis pas non.
Je savais qu’elle n’était pas coincée ; mes caresses devaient un peu lui plaire ? Je m’agenouille derrière elle et, à travers le pull, je commence à lui masser la nuque, les épaules, le dos pendant qu’elle continue de jouer avec son téléphone.
— Il y a une séance à 20 heures, demain.
— Ah ? OK. On fait quoi ce soir ?
— Ben, on va manger quand tu auras fini de me tripoter le dos.
— Je peux continuer ?
— Ça te plaît ?
— Oui.
— Continue, ça fait du bien.
Elle pose son ...
... téléphone à côté d’elle et se détend. Après quelques minutes d’hésitation, je descends prudemment mes mains vers ses jolis seins ; chaque centimètre gagné est une victoire. Mes doigts découvrent sa poitrine enfermée dans ce pull que j’aimais bien au début, mais qui devient une barrière entre mes doigts et sa peau. À présent, j’ai mes mains sur ses seins, je la pelote doucement et je prends un plaisir fou. Malgré les vêtements et le soutien-gorge, je sens sa jolie poitrine sous mes doigts, mes grandes mains enfermant ses seins. Je sens sa respiration ; elle est de plus en plus forte. Je regarde sa jolie nuque, ses cheveux, elle sent divinement bon.
— Tu as une vision large du massage ; remarque, tu es doué…
— Merci. C’est tellement bon. Tes seins sont merveilleux.
— Tu es excité ? Tu bandes, là ?
— Oui.
— Tu t’es déjà branlé en pensant à moi ?
— Oui.
Elle se retourne et pose sa main sur mon entrejambe. Elle appuie sa main pour évaluer la taille de ma bite.
— Tu bandes vraiment dur… J’aime bien t’exciter, mais on doit arrêter. Je suis mariée, j’ai des enfants.
— Excuse-moi.
J’arrête mes caresses. Je la regarde, très gêné ; elle a les joues rouges d’une confusion mêlée à du plaisir. Elle me jette un coup d’œil complice et me sourit. Nous filons au restaurant.
Au restaurant, nous parlons du bon vieux temps et de nos vies. Après plusieurs verres de vin, elle est un peu saoule et me demande :
— Ah, tu fantasmes sur moi depuis longtemps ?
— Des années.
— Je suis ...