1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. Immorale (1/2)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... 20 ans tout au long de ma vie de débauche américaine et dans des villes de tout genre.
    
    Je repose la casserole pendant qu’il tient le chinois qui se vide lentement.
    
    Je sais, je suis une salope.
    
    Je l’ai tenue dans mes bras quand il était tout petit mais il est le type même des amants que je recherche chaque fois que je vais dans une ville au hasard, puis dans un hôtel après avoir dragué dans les bars.
    
    - Que fais-tu tante Julia, où vas-tu, là c’est ma bite ?
    
    - Je sais, si tu savais depuis combien de temps j’avais envie de la caresser.
    
    Tient bien le Chinois, évite d’en perdre, demain il en faut pour tout le monde.
    
    - Arrête, j’ai une copine, Sylvie.
    
    - Tu couches avec ?
    
    - Non, il est impossible de faire ça chez elle ou chez nous.
    
    - Tu es donc puceau, je vais m’occuper de ça.
    
    Je sais, je suis folle, mais quand un besoin de sexe se fait sentir en moi, il faut que je me fasse baiser.
    
    - Oh ! Julia, ta bouche est douce.
    
    Tient « Tante » a disparu.
    
    Il est bien monté, plus que son père.
    
    Je sais j’ai déjà dit être une salope.
    
    Un jour Franck est venu chez moi réparer un robinet fuyant, Bob étant dans son atelier à faire ses œuvres qui lui permettaient de nous nourrir.
    
    C’est sur la table de la cuisine derrière moi, qu’il m’a couché et qu’il m’a baisé.
    
    Je savais qu’il venait, j’étais en peignoir.
    
    Il m’a évité de prendre un train car depuis quelques jours mes ovaires me travaillaient et mes seins me faisaient mal à hurler.
    
    Il les a ...
    ... mordus comme je lui ai demandé, il m’a pris comme une bête, certainement par peur qu’un de nos conjoints nous surprenne.
    
    Après hélas, très penaud, il m’a fui m’obligeant à reprendre ma route ferroviaire de luxure.
    
    Je le pompe comme je l’ai fait des milliers de fois.
    
    À San Francisco, dans mon périple américain, dans Haight-Ashbury quartier hippie de cette ville, j’ai rencontré Christian un jeune marin de passage avec son bateau de la marine nationale.
    
    J’ai oublié le nom du bateau qui faisait le tour du monde.
    
    J’ai vécu avec lui dans ma soupente où j’habitais.
    
    Faites l’amour, pas la guerre, il avait compris notre slogan car il me baisait ainsi que les copines des chambres voisines.
    
    Il est reparti les couilles vides mais il faut que je parle du jour où il était de service dans l’impossibilité d’aller à terre nous rejoindre.
    
    Il y avait des visites du bateau et par une porte dérobée il m’a fait entrer dans le poste des mécaniciens.
    
    Une cinquantaine de lits à trois de hauteur.
    
    Un gars de service au moteur fournissant le courant.
    
    Une douzaine de marins présents.
    
    Je suis ressortie de là les ayant tous pompés leur ayant pour certains vidés là encore leurs couilles.
    
    J’en avais mal aux mâchoires et je suis rentrée chez moi pour prendre une douche couverte de sperme sur mes vêtements et ma figure car il aurait fallu que je me carapate très vite, si un officier était venu dans ce poste.
    
    Quand je parle de milliers de fois, je suis très près de la ...