1. Mon cousin suite 1


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Mardimatin, Source: Hds

    Ce texte est la suite d’une histoire intitulée mon cousin, il est donc conseillé de lire la première partie.
    
    Les jours passent et le stress du quotidien est vite oublié. Cette maison de famille dans le sud est comme dans un havre isolé et protégé du monde. Jeux, piscine, sport, diner rythment les journées et Paul et moi devenons inséparables. Il ne s’agit pas d’amour ni d’amitié mais quelque chose comme un prolongement de soi. Toute retenue, gène ou pudeur qui dictent normalement les comportements des individus sont supprimés. Les discussions n’ont plus de limites et plus rien ne nous est caché. Je me sens simplement libre, une liberté qui parait naturelle, qui inhibe toutes craintes.
    
    L’intimité des corps qui est parfois un des derniers bastions de la retenue est écartée. La salle de bain n’est plus l’espace privé voire sacré ce qui étonne mon oncle et interpelle un jour son fils lorsqu’en sortant de la piscine, je propose à Paul d’aller se doucher et se changer pour le soir :
    
    L’oncle : « ah vous partagez la salle de bain en même temps? »
    
    Paul : « pfff ouè au final on s’en tape, on va pas se la jouer pudique »
    
    L’oncle : ahah oui c’est vrai, on est tous fait pareil d’un côté. C’est bien que vous n’ayez pas de gènes
    
    J’apprécie au fond de moi la réponse de mon cousin ce qui me confirme qu’il ressent la même chose. Nous n’avons plus de barrières et le naturel est ce qui nous lie et régit nos comportements.
    
    Nos séances de masturbation sont quotidiennes, nous ...
    ... n’avons plus besoin d’aborder le sujet. On se met nu, on s’allonge parfois nous discutons des heures mais systématiquement le besoin d’éjaculer est présent. J’aime ces moments, je m’accorde le temps d’écouter sa respiration, le cliquetis humide de son gland. La libération de notre sperme devient un plaisir commun qui se fait au même moment. Nous ne souhaitons plus restreindre ce bonheur ultime en tentant de contenir cette substance dans un tissu ou mouchoir.
    
    Le liquide se répand sur notre corps et n’est plus source de gènes. Nous nous endormons ainsi, nous continuons à discuter dans cette liberté totale. Je me sens comme porté par cette confiance que me donne mon cousin lorsque l’humidité de sa semence sur le drap parvient jusqu’à moi.
    
    Par un de ces après-midis de chaleur suffocante, nous ne supportons que pour seul vetement notre maillot de bain. Les chaussures, chemises, pantalons demeurent des inconnues. Nous restons en permanence pieds nus et apprécions cette sensation de jardin d’eden.
    
    Ce jour particulier, après une bonne baignade dans la rivière, nous revenons à la maison et partons nous doucher pour le soir. Paul m’invite à commencer en premier car il souhaite se raser la barbe naissante.
    
    J’enlève mon maillot et me retrouve rapidement nu. Ma douche ne s’éternise pas et lorsque je retire le rideau en sortant de la baignoire je découvre mon cousin debout en train de faire pipi dans les toilettes.
    
    Son maillot est à même le sol et il tient son pénis d’une ...
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