1. Fatima, son mari et sa mère. (1)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... qui s’ensuivit lorsqu’il a commencé doucement à masser mon anus. Il me fit mal et j’ai dit « ahh », puis ma mère m’a dit : « qu’est-ce qui te prend, ma fille ? », je lui explique la situation, elle me demanda de lui passer mon mari.
    
    J’ai passé le téléphone à mon mari et j’ai entendu ma mère lui dire :
    
    — Demande à ta femme de se placer à genoux sur le lit, dans cette position, ses fesses seront relevées et, entièrement nues, s’offriront plus franchement à tes attouchements... !
    
    — Oui maman ! lui dit mon mari.
    
    Mon mari m’a ordonné de faire ce qu’avait dit ma mère.
    
    Mon mari faisait maintenant courir ses doigts dans le sillon de mon cul, tout en frôlant les reliefs de mon postérieur si ferme et arrogant dans la position impudique dans laquelle je me trouvais. Mais je ne voulus pas rester passive. Il me fallait répondre à ses caresses par d’autres, tout aussi agréables, et me doigter l’anus, c’était ma première fois. Ce dépucelage, je lui offrais mon cul par le désir de ma mère.
    
    Son doigt, toujours dans ma rondelle, comme à la recherche d’un mystérieux trésor – il fallait d’abord que je reprenne mon souffle et que ma mère lui donne des instructions – une fois la douleur passée, ce fut bien la jouissance de me faire pénétrer qui prit le dessus. Je jetai ce qu’il me restait d’énergie pour lui souffler entre deux râles de jouissance. J’ai entendu mon mari dire à ma mère :
    
    — C’est à toi, maman, de me dire ce que je dois faire !
    
    — Allez, encule-la... ! lui ...
    ... répondit ma mère.
    
    Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il frotte son membre contre ma raie et qu’il me pénètre alors que je ne m’y attendais pas, pas si vite. J’ai brusquement mordu mes lèvres, car la douleur était, cette fois, bien réelle. Il m’enculait à sec, sans plus de cérémonie, et moi je subissais tous les outrages de mon mari, sous le prétexte de vouloir apaiser le désir de ma mère.
    
    Il a posé ce fameux téléphone sur la table de nuit et commença à me triturer la poitrine avec une ardeur sauvage et alors qu’il me culbutait comme un étalon sevré trop longtemps de sexe, il se mit à éructer, tout en continuant à me baiser sans tendresse, des mots qui me rappelaient que ma mère nous écoutait et même qu’un jour, je ferais comme elle. Il m’a dit : « dis-moi que tu aimes te faire enculer ! ». Je lui dis « oui ».
    
    Puis il m’a dit : « dis-moi que tu aimerais que j’encule ta mère ». Je n’ai pas voulu répondre, il m’a donné une fessée, puis ce fut ma mère qui lui répondit par « oui ».
    
    « Tu aimerais la sentir profondément en toi, maman ? Dis-moi qu’aucun homme ne t’a jamais enculée avant ! lui demanda mon mari.
    
    Pour moi, les premières douleurs avaient disparu, maintenant, une rafle de jouissance envahissait mon corps et sentir le sexe de mon mari coulisser dans mon trou du cul.
    
    J’aimais ça ? C’était la première fois que je me faisais mettre par-derrière.
    
    Sans me rendre compte, j’ai dit à mon mari de ne pas s’arrêter.
    
    Quand je me suis effondrée, en larmes, épuisée ...