Lise. (1) - Histoires de Sexe

Lise. (1)

... sur le sol.

— Il va falloir t’entraîner, nettoie tes cochonneries.

Elle me suce pour me nettoyer.

— Et le sol.

— Je dois lécher le sol ?

— Oui.

Elle me regarde d’un air dépité et lèche sa bave sur le sol.

— La prochaine fois que je te demande de faire quelque chose, tu ne fais pas cette tête et tu dis "oui", compris ?

— Oui j’ai compris.

— Il nous reste un bon quart d’heure, je vais prendre un peu ta chatte, elle doit être jalouse. Je m’assois dans le canapé.

— Viens t’empaler sur moi.

— J’arrive. Dit-elle en se levant.

Elle se met dos à moi et plie les jambes pour positionner son minou sur ma queue, je mets alors mon gland sur ses lèvres humides.

— Vas-y, empale-toi.

Elle descend lentement en poussant un gémissement jusqu’à poser les fesses sur mes cuisses. Puis après un bref instant de répit, elle se met à faire des va-et-vient. Je n’ai qu’à admirer le spectacle de ce magnifique cul remuant sous mes yeux.

— Bon, il reste cinq minutes, tu vas me sucer pour finir.

— D’accord, dit-elle en se mettant à genoux pour me sucer.

Elle me pompe avec tant de passion que je ne tarde pas à jouir.

— Oh que c’est bon, je ...

... vais jouir, garde tout dans ta bouche, n’avale pas tout de suite.

Je déverse de grandes giclées dans sa bouche, c’est divin. Elle me nettoie bien la queue et attend mon bon vouloir, la bouche pleine.

— Fais voir.

Lise ouvre la bouche en grand.

— Oh que c’est bien rempli, superbe.

Je regarde ma montre.

— 17h58, il reste deux minutes, tu vas devoir attendre un peu comme ça.

Elle me fait des yeux noirs, puis se ressaisit et hoche la tête.

— Mets les mains sur la tête.

Elle le fait aussitôt et j’en profite pour jouer avec ses seins. Les minutes paraissent interminables.

— 18h ! Tu peux avaler.

Elle s’empresse de déglutir.

— Merci, j’en pouvais plus.

— Pas trop mauvais le goût ?

— Infect, mais j’avais pas vraiment le choix.

— Félicitations, tu as tenu.

— Tu vois que j’ai été à la hauteur.

— Oui, mais il va falloir le rester si tu veux que je te garde.

— Pas de souci pour ça, je suis capable de tout comme tu as pu le voir.

— Tu seras ma petite chienne ?

— Oui, je serai ta petite chienne docile et obéissante.

Je l’embrasse. Après cette séance intense, elle rentre chez elle en ayant un peu de mal à marcher droit.