Vol AF 3552 - Histoires de Sexe

Vol AF 3552

Nous survolons l’Atlantique, direction Fort de France pour deux semaines de vacances. À mes côtés, Kris est souriante, décontractée, et nous nous imaginons déjà tous deux sur le sable martiniquais… C’est l’occasion que je saisis pour aborder le sujet qui m’occupe l’esprit. Vous vous souvenez peut-être de la matinée torride que ma tendre épouse a partagée avec son beau-père il y a quelques jours ? Je ne lui en ai pas encore parlé.

— Mon cœur, tu n’aurais pas oublié de m’avouer une petite faiblesse de ta part ces jours-ci ? Tu me fais des cachotteries ?
— C’est vrai, mon amour, mais je ne savais pas comment aborder la chose. C’est un peu… particulier ! répond Kris avec un sourire désarmant. Comment as-tu deviné ? Oui, je me suis laissée aller à une folie et je n’osais pas te l’avouer.
— Une folie ? Deux, si je compte bien : une opération de rangement du cellier à la maison, et un petit déjeuner très…chaud chez ta mère. Le premier, c’est le hasard qui a fait que j’en ai été le témoin (ravi, d’ailleurs). Le second, j’ai tendu la perche à Mario qui a sauté sur l’occasion, et sur toi en l’occurrence. Moi, j’ai beaucoup apprécié le spectacle, discrètement caché dans le jardin…
— Vilain garçon ! Tu n’as pas honte de m’avoir tendu un tel piège ? Quand je pense que je ne savais pas comment t’en parler… Car même si nous sommes très joueurs tous les deux, que cela se passe avec Mario me troublait beaucoup. Je pensais que tu serais fâché.
— Non, non… Au contraire, après le petit ...

... incident à la maison, cela m’a donné envie de te voir aller plus loin encore ; j’ai tout fait pour. Tu as été splendide, mon ange. J’ai d’ailleurs remarqué que tu y as pris beaucoup de plaisir.
— C’est vrai. D’abord, Mario est un amant doux et viril mais, en plus, le fait que ce soit mon beau-père rendait le jeu bien plus excitant encore.
— Tout est donc pour le mieux ! J’espère que, très bientôt, tu vas partager de nouveaux plaisirs avec de beaux Antillais. J’ai toujours aimé le mélange de couleur. Au soleil, ce ne peut qu’être plus agréable encore, n’est ce pas mon cœur ?

Kris sourit à nouveau, nous échangeons un tendre baiser avant de nous laisser aller à somnoler, la tête pleine de rêves.

____________________________

Trois jours passent. Nous avons gentiment récupéré le décalage horaire ; notre épiderme commence à se colorer agréablement. Il est temps de partir à la découverte de l’île. Une carte, une voiture de location. Nous voici partis à l’aventure ! Une sortie à bord d’un catamaran pour un baptême du rhum sur les fonds blancs de la « baignoire de Joséphine » nous attend.

Ambiance excellente ; l’eau est tiède, le rhum très chaud et, après le repas sur un îlet, les Antillais lancent la danse. Zouk à gogo, surtout pour Kris qui passe de longs moments sur la piste sablonneuse. Elle me rejoint enfin, mais accompagnée d’un Antillais. Un bandana sur la tête, en short et tee-shirt, il a très fière allure. Grand, le corps souple et musclé, le sourire charmeur, une ...