L'invasion Ch. 14
Datte: 04/12/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... quelque chose ici, je serai vraiment en mauvaise posture.
— Tu passeras tes nuits ici, me dit Sonia. Je sais, ce n'est pas confortable, mais quand on est puni, c'est pour une raison.
Elles me laissent ainsi un bon quart d'heure, dans le noir, seul. Puis elles reviennent et me descendent de la cage. On garde mes anneaux pour me montrer d'autres engins de punition.
— Il n'y a rien de bien méchant, pas d'engins de torture comme tu pourrais le croire. Les punitions sont très sévères.
Elles m'attachent debout en extension, et une femme approche avec une plume.
— Ceci peut te sembler agréable au début, mais tu verras, c'est très dur.
La femme sourit et commence à chatouiller mes testicules avec la plume. Cela m'excite encore plus, une autre vient avec une autre grande plume sur mon sexe. Elles caressent ainsi mes parties. Au début, c'est agréable.
— Tu sens? Cinq minutes, tu tiens le coup, ensuite, tu deviens fou d'excitation, et cela peut durer deux heures. Bien entendu, pendant tout le temps de ta punition, il te sera formellement interdit d'éjaculer, tu verras les effets d'un tel traitement pendant des jours et des jours.
Effectivement, je commence à sentir les effets de cette ultra excitation. Elles continuent. Et puis, c'est fini, une femme prend mon sexe et le tend horizontalement. Il est trop dur gorgé de sang. Une femme arrive avec une mini cravache.
— Juste après, tu auras droit à la cravache.
Elle me frappe le sexe avec la petite cravache. ...
... Pas trop fort, c'est tenable, mais au bout de nombreux coups, qui deviennent de plus en plus fort, je hurle de douleur.
— Allons, tout cela n'est rien. C'est bon, détachez-le.
Les femmes arrêtent, comme à regret.
— Tu verras, me souffle une des gardiennes, quand tu viendras ici, ce que je vais te faire subir.
On me passe un masque sur le visage. Je ne vois ni n'entends plus rien, et ma bouche est prise aussi. Je sens qu'on me soulève et qu'on m'attache les pieds tendus en l'air. Les mains au sol, et je reçois des coups de cravache. Je n'entends absolument rien, ni ne vois ce qui se passe, et je ne peux crier. Je ne sens que la douleur, le seul sens qui fonctionne, et même si les coups semblent faibles, c'est la seule information qui arrive au cerveau puisque tout le reste est stoppé. Je hurle mentalement, impossible de faire sortir un son. Je perds la notion du temps, et je me retrouve debout, on retire le masque.
— Ceci est aussi une belle punition, me dit doucement Sonia. Tu n'as aucun sens seul le toucher, et les coups que tu as reçus étaient faibles. Combien de temps es-tu resté ainsi?
— Je ne sais pas, vingt minutes?
— Non, deux minutes. Alors, imagine que tu restes ainsi deux heures pendant lesquelles tu reçois des coups. Cela te paraitra une éternité.
J'ai vraiment peur. Tous ces engins de punition. Une femme vient accrocher une laisse.
— A quatre pattes!
Je suis obligé d'avancer ainsi jusqu'à un coin de la pièce. Il y a une écuelle d'eau et ...