1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (29)


    Datte: 04/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... léger et en remarquant qu’elle me caressait le dos dorénavant.
    
    — Oui…j’aime ce que tu viens de dire…et continue à ce rythme… Poursuivit-elle sans manifester plus d’enthousiasme.
    
    Me soumettant de bonne grâce à son exigence, je prolongeai mon œuvre.
    
    Ma longue verge disparaissait dans sa fente, pour émerger d’entre ses lèvres en marquant un temps d’arrêt, le temps d’échanger un regard. Elle était fabuleusement belle à baiser, malgré son comportement éteint. Elle ne s’imaginait pas le pied que je prenais à la pénétrer de la sorte.
    
    J’entrais en elle avec une lenteur exacerbée, m’imbibant à chaque allée de la fièvre de sa féminité. En réalisant que nous serions chez mes parents le lendemain, je m’approchais un peu plus de l’interdit en la sautant et la voir réticente, preuve qu’elle culpabilisait, me renforçait dans l’idée de lui procurer une jouissance peu commune.
    
    Pour la sortir de sa coquille, je me redressai en jeune mâle conquérant, attrapant ses jambes pour les disposer sur mes épaules. En lui maintenant les cuisses et nonobstant ses exigences dépassées, j’imposai foncièrement des allers-retours plus soutenus, plus vifs provoquant une sensation intense à ma quadra jusque-là impassible.
    
    Bien malgré elle, sa respiration d’abord profonde se fit haletante et après un grand coup de reins dans son bas ventre, elle poussa un cri aigu.
    
    Comme un petit animal sauvage, je l’éduquai pour la faire mûrir. En reprenant un rythme langoureux, ma belle quadra se ...
    ... recroquevilla en plaçant ses pieds délicieux à hauteur de ma bouche.
    
    Ce fut bien la première fois que nous baisions en silence et tout en suçotant le bout de ses orteils, Véro en attrapa mes mains. Mais pour la disciplinée davantage, je conservai désormais cette cadence s’assimilant à un ennui profond pour ma grande blonde.
    
    Avec ses pieds en bouche, mon sexe perdu dans ses chairs et nos mains jointes, nous étions devenus ces deux étoiles qui devaient se rencontrer et qui allaient se coller pour jouir, pour jouir de toute éternité.
    
    — Fais plus fort. Soupira-t-elle, lassée de mon rythme mollasson.
    
    — Tu parles ? Dis-je, exprès pour l’entendre extérioriser ses sentiments.
    
    — Oui…et accéléré donc ! … S’écria-t-elle en s’énervant toute seule.
    
    — Et comme ça…ça te plait ? En délaissant ses pieds pour m’allonger sur elle.
    
    — Ah oui…là tu peux y aller ! S’exclama-t-elle telle une gosse à laquelle on aurait offert un tour de manège.
    
    — Jouis Véronique, jouis avec moi. En pilonnant comme un beau diable ma femelle mature, toute docile, toute ouverte à moi.
    
    — Hann ! …continue mon chéri…hann c’est bon…baise-moi…baise-moi à mort… En croisant ses jambes autour de ma taille avec la bouche ouverte.
    
    — T’es celle que j’aime… M’écriai-je à mon tour, emporté par une vague qui me fit chavirer.
    
    — Hann…hannn…hannnn… Grogna-t-elle le corps raide contre le mien.
    
    J’avais réussi. Nous ne parlions plus, nous ne pouvions plus parler. Nous nous roulions des pelles à n’en plus finir ...
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