1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (21)


    Datte: 04/12/2019, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... à vos ordres.
    
    — Bien je te donne 30 minutes pour te présenter chez moi.
    
    — Bien mon Roi.
    
    J’ai fait part à Valentine des consignes. Elle a souri, elle avait l’air heureuse. Je me suis habillé, et avant de partir, j’ai rejoint Valentine dans son dressing. J’ai pris la bouteille de scotch dans le bar et me suis mis en route. Valentine allait être à tomber, quasiment habillée en pute, comme demandé par Théo : minijupe ultra courte et moulante noire et dorée, bas autofixants arrivant à la limite du bas de la jupe, escarpins à talons aiguilles de 14cm, top noir dos nu vaporeux, sur ses seins nus.
    
    Je suis arrivé à l’adresse que Valentine m’avait donnée. Je me suis garé comme demandé par Théo juste en bas de l’immeuble, un petit immeuble résidentiel. J’ai sonné à l’interphone, il y avait un couple qui attendait devant la porte. Théo a répondu :
    
    — C’est Mat.
    
    — Qui ça ?
    
    — Mat, le mari de Valentine.
    
    — Qui ?
    
    J’ai craqué :
    
    — Le cocu de Valentine.
    
    — Ah oui, pile à l’heure, je t’ouvre mon petit larbin. Dernier étage.
    
    Le couple me regardait. L’homme se marrait, la femme me regardait avec dédain. Il m’a ouvert. Je suis monté en ascenseur au troisième et dernier étage. Il vivait dans un deux pièces sympa, déco moderne, l’archétype du mec sûr de lui, tombeur de femmes. La porte était ouverte. J’ai sonné et suis entré, j’ai refermé la porte derrière moi.
    
    — Entre, n’aies pas peur, je suis au salon.
    
    Il m’attendait dans son canapé. Jean, baskets, chemise ...
    ... cintrée. Il était vraiment beau garçon, carré, physiquement puissant. De très très beaux yeux, une très légère barbe de deux jours, les cheveux coupés courts et bien coiffés. Il souriait.
    
    — J’ai sorti un verre, sers moi de ce scotch.
    
    J’ai obéi.
    
    — Assieds-toi.
    
    J’hésitais, il l’a vu.
    
    — Allez viens sur le canapé, profites-en, ça sera rarement le cas.
    
    — Merci.
    
    — Alors ? Résume-moi la situation.
    
    — Euh... Et bien Valentine accepte de rester avec moi, mais évidemment elle est libre de faire ce qu’elle veut, et ce qu’elle veut c’est vous comme amant.
    
    — Parfait, c’est bien résumé. Et tu acceptes ça ?
    
    — Oui, bien sûr. Je l’aime.
    
    — Tu acceptes qu’elle soit à moi ?
    
    — Oui mon Roi.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Parce qu’elle a besoin d’un vrai mâle qui lui donne le plaisir qu’elle mérite, qui la fasse être la femme qu’elle est. Moi j’en suis incapable sur le plan sexuel.
    
    — Pourquoi ça ?
    
    — Mon sexe est trop petit, je suis précoce, et pas doué du tout pour ces choses-là.
    
    — Et du coup que proposes-tu ? Je veux dire en quoi vas-tu m’être utile, quand je serai avec ta fiancée ?
    
    — Je peux servir, obéir, être à vos ordres, votre larbin, serviteur, chauffeur, porteur, meuble. Je peux être aux petits soins pour vous.
    
    — Mmmmm, ok. Tu te juges bon dans ce genre de choses ?
    
    — Oui, je crois mon Roi. Et je ferai de mon mieux.
    
    — Parfait.
    
    Il me regardait, buvait son scotch, tout en lui respirait l’assurance, la prestance, la confiance.
    
    — Tu me trouves ...
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