1. laculpabilitee d'eva


    Datte: 04/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rolanddu04, Source: xHamster

    ... tirait... C’est un bien grand mot !
    
    Toute sa famille était morte dans l’accident. Il était détruit psychologiquement. Eva Girard n’eut que quelques ecchymoses. La majeure partie du choc ayant été absorbée par sa voiture, qui elle était détruite.
    
    Au sortir de l’hôpital, Christian Durand porta plainte contre Eva Girard.
    
    Ayant pu s’attacher le service d’avocats très haut de gamme, Eva s’en sortit finalement avec une amende de 1500 euros, un retrait de permis de 3 mois. L’accident avait été classé homicide involontaire.
    
    Le verdict de ce procès plongea Christian dans un profond désespoir. Il s’enferma chez lui, ne répondant plus à personne. Une profonde déprime l’envahit.
    
    Eva, elle, retourna à son travail, à ses occupations. Cependant, petit à petit, elle revit la soirée dans sa tête, l’alcool bu. Petit à petit, le doute l’envahit... jusqu’à ce qu’elle se sente fautive.
    
    Elle alla voir un psy. Rien n’y fit. Plus le temps passait, plus elle se sentait fautive. Petit à petit, elle commençait à tomber dans une espèce de déchéance psychologique. Elle se sentait coupable de la mort de cette famille et cette douleur devenait insupportable.
    
    Un soir, c’était un vendredi, elle se présenta au domicile de Christian Durand. Elle voulait s’excuser, elle voulait lui parler.
    
    Elle se présenta à son domicile dès qu’elle sortit du travail. Elle était habillée d’un tailleur chic, serré aux jambes, d’escarpins rouges à hauts talons, d’un chemisier blanc un peu transparent, qui ...
    ... laissait entrevoir une lingerie en dentelle noire.
    
    Devant la porte, elle tapa à cette dernière. Aucune réponse. Pourtant, elle savait qu’il y avait quelqu’un, la lumière étant allumée. Puis elle sonna. Toujours pas de réponses. Alors, elle sonna encore et encore.
    
    Ce n’est qu’après 10 bonnes minutes que la porte s’entre-ouvrit.
    
    Un homme, le regard abattu, la barbe hirsute, en robe de chambre et puant la clope se trouvait devant elle.
    
    — Monsieur Durand, je suis...
    
    Il la coupa net.
    
    — Je sais qui vous êtes. Vous êtes la salope qui a tué ma femme et ma fille !
    
    Elle ne pouvait qu’acquiescer.
    
    — Monsieur Durant, s’il vous plaît. J’aimerais vous parler. J’aimerais m’excuser. Donnez-moi 15 minutes s’il vous plaît.
    
    — J’en ai rien à foutre de ce que tu peux raconter. Regarde-toi dans tes fringues de bourge ! Putain, tu me débectes !
    
    — S’il vous plaît, Christian, 10 minutes. Donnez-moi 10 minutes de votre temps. Ensuite, je repartirais.
    
    — Vas-y, crache ce que tu as à dire !
    
    — Ne pourrait-on pas rentrer, s’il vous plaît ?
    
    Dépité, il ouvrit la porte en grand, l’invitant à entrer.
    
    La maison était dans un bordel phénoménal. Des restes de repas partout dans la cuisine, des tas de vêtements partout sur le sol, une odeur de clope envahissait toute la maison. Des bouteilles d’alcool, presque toutes vides, étaient amoncelées sur la table basse. La télé en fond, sur une chaîne quelconque.
    
    Christian ramassa un journal, le roula, et donna un petit coup sur ...
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