1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1000)


    Datte: 21/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... superbe limousine noire ne passa donc pas inaperçue et chacun attendit que Monsieur le Marquis d’Evans en soit sorti pour applaudir avec admiration ce Dominant que tous ici présents reconnaissait comme le plus grand parmi les grands de la communauté des Maîtres D/s.
    
    Derrière lui se positionnèrent tout de suite, car elle venait d’en recevoir l’ordre, ses quatre femelles en robe d’O. Leur cou était ceint d’un collier en or ajusté, formé d’un large cercle qui semblait n’avoir aucune ouverture comme s’il avait été scellé, ad vitam aeternam, à même la peau de chaque soumise et esclave. Chaque collier était gravé des Nobles Initiales MDE du Maître propriétaire qui étaient faites d’incrustations sculptées en lapis-lazuli serties dans le précieux métal. Sur le devant de ces parures d’apparat qui ressemblaient bien peu aux plus vulgaires colliers de chien en cuir que les esclaves du Cheptel portaient habituellement pour faire les tâches et corvées quotidiennes qui leur incombaient au Château, pendait un gros anneau d’or épais en forme de « O », dans lequel était accrochée une lourde chaine en or à maille de forçat. Les soumises et esclaves portaient sur les yeux un masque les faisant ressembler à une chouette, imitant celui que la célèbre « O », sous la plume de Pauline Réage, portait lors de son arrivée remarquée au bal masqué chez le gouverneur. Monsieur le Marquis se retourna pour remonter leurs robes longues à pans coupés qu’il fixa au niveau de la taille, en laissant à ...
    ... l’arrière totalement dégagé leur postérieur portant les trois Initiales incrustées du Maître au fer rouge. Entre les deux lobes fessiers, au creux de la fente intime, chacun pouvait entrapercevoir le cabochon aux Armoiries de la Famille des Evans qui terminait le plug enfoncé dans leur rondelle étroite. La robe ainsi retroussée à la taille laissait également apparaître sur l’avant un pubis parfaitement glabre qui surplombait deux lèvres intimes déjà scintillantes de l’humidité qui régnait dans les cavernes intimes de chaque dominée, si heureuse d’avoir été sélectionnée et particulièrement excitée de pouvoir accompagner le Maître Vénéré en personne. Elles allaient toutes les quatre pieds nus, portant aux poignets et aux chevilles de larges bracelets de cuir lisse noir d’où pendaient de gros anneaux qui ne demandaient qu’à être utilisés...
    
    Pendant ce temps-là, soumise Emeline MDE avait positionné le quadrige de chevaux-humains juste quelque mètres devant le Châtelain, après les avoir préparés en leur ajustant un mors entre les dents et en positionnant le harnachement traditionnel des « pony-boys » autour du visage d’où partaient quatre longes de cuir qu’elle tenait fermement entre ses mains afin de pouvoir les diriger ensemble en tirant dessus (un coup pour avancer, deux coups brefs pour ralentir, deux coups longs pour s’arrêter). Walter et Marie avaient quant à eux pris en mains les laisses des quatre chiens-mâles à raison de deux chacun, après les avoir prévenus qu’ils avaient ...