1. Samia - 47 En Chine.


    Datte: 04/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Gay Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... cheval sur mes reins et écarte bien mes fesses. Ensuite, il écarte les fesses de Inge. Le Chinois lui explique :
    
    — Tous les anus sont différents, c'est comme les empreintes digitales. Les vulves aussi, mais je ne les photographie pas : c'est trop dégoûtant.
    
    Seigneur, faites que ce soit le seul gay, ici. Il a fini et embrasse Julien sur la bouche. Il ouvre une porte et nous passons dans la pièce suivante. Sur un comptoir, il y a une série d'uniformes. Le magasinier est un mec pas mal du tout. Son œil s'allume quand il nous regarde. Ouf ! Un homme ! Je veux dire un vrai. Ayant vu les marques sur nos jambes, il dit en souriant :
    
    — Monsieur Li n'aime pas beaucoup les femmes.
    
    Je lui fais mon regard « Toi, tout ce que tu veux, quand tu veux » et j'ose lui dire :
    
    — Mais vous, vous les aimez, Monsieur ?
    
    — Moi, oui...
    
    — Mon amie et moi, on peut vous sucer à deux, ça va vous plaire...
    
    Il rit... hésite, puis répond :
    
    — Pourquoi pas.
    
    J'ai entendu que Inge est une pute. Une pute, ça sait sucer, non ?
    
    Je lui dis :
    
    — On le suce à deux ?
    
    — ... Euh... oui...
    
    On va se mettre à genoux devant le magasinier. Il écarte les cuisses pour nous faire une petite place. J'ouvre son pantalon et en sors des attributs d'homme, une belle bite, des couilles bien rebondies. Je ...
    ... tire sur la peau du sexe... et le lèche un moment, puis, je le passe à Inge qui a l'air tout intimidée.
    
    Elle lèche timidement, j'appuie sur sa tête pour enfoncer complètement le gland dans sa bouche, puis je le reprends dans la mienne, car elle est nulle. Si elle c'est une pute, moi je suis bonne sœur ! Je m'apprête à lui montrer ma technique pour sucer une bite, mais il me dit :
    
    — Tu fais ça bien, mais on continuera plus tard. On va être dérangés.
    
    Je retire ce que j'ai en bouche pour répondre :
    
    — Oui Monsieur, quand vous voulez.
    
    Je suis déçue... mais je pense que je lui plais quand même, surtout que deux filles nues arrivent dans la pièce. Il savait qu'elles allaient arriver.
    
    Il reprend son rôle de magasinier et nous donne des vêtements. Il s'agit d'uniforme en toile de couleur orange, comme dans les prisons américaines. Un pantalon qui s'arrête aux genoux, un tee-shirt et une petite veste. Dans le dos du tee-shirt et de la veste de Julien et moi, il est écrit « thief », « voleur » en anglais, plus des idéogrammes chinois. Pour Inge c'est « whore », pute. Et aux pieds ? Rien.
    
    Quand on est habillées, il nous indique une porte pour aller dans le local suivant. Il me sourit... Ouf ! Je plais toujours.
    
    À suivre
    
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