1. Un bel anniversaire


    Datte: 03/12/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, essayage, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, préservati, fsodo, couple+h, Auteur: Bagatelle, Source: Revebebe

    ... déçu que je ne me sois pas plus occupée de lui. Il me demanda alors une compensation, je devais ôter mon string, échancrer un peu plus mon chemisier pour qu’il puisse apercevoir la pointe de mes seins surplombant mon soutien-gorge. Nous sommes donc allés boire un verre. Dans les toilettes je m’exécutais, et lui remis son trophée, mon joli string blanc. Il insista encore un moment pour que j’échancre plus mon chemisier, et ce, malgré mes protestations. Maintenant, je me trouvais un peu trop offerte aux yeux de tous.
    
    — Tu es prête pour ton anniversaire de folie ?
    
    Il me proposa alors une petite promenade dans un parc, à proximité du lieu de rendez-vous de ma leçon, et d’en profiter pour parler de mes attentes pour ce week-end.
    
    Nous prîmes le métro pour nous y rendre. Il était bondé et je dus me tenir fermement à la barre centrale, lui vint se placer à côté de moi, il m’enserrait la taille, me disant combien je l’excitais. Il me souriait, déployant tout son pouvoir de séduction. Il me caressait maintenant les fesses à travers le tissu. J’avais du mal à me contenir, ses doigts s’immisçaient entre mes fesses à chaque mouvement du métro. De sa hauteur, il pouvait sans problème apercevoir mes tétons durcir, de face on les distinguait nettement maintenant sous l’étoffe. Je croisais du regard mes voisins qui les fixaient, se rapprochant ou bougeant pour mieux les apercevoir. Thierry s’amusait de cette situation, moi ça commençait à m’exciter. Si j’étais ici, c’était aussi ...
    ... pour ça, l’inattendu, le frisson, l’interdit, le cœur qui s’emballe.
    
    Je le fais quelquefois avec mon mari, sortir court vêtue ou aller sans culotte au restaurant quand nous sommes dans une autre région. Voir les hommes mariés me mater les cuisses est grisant. Croisant et décroisant mes jambes. L’air de rien face à leur épouse, ils n’ont d’yeux que pour moi, quand je vais aux toilettes, mon mari incite parfois du regard ces hommes à me suivre, pas un ne viendra, mais ça l’excite, et puis nous faisons l’amour comme des fous. Mais là, je suis seule en ce moment avec un autre homme, c’est ce que voulait mon mari, c’est son cadeau, que je ressente combien je peux encore être désirable, combien je peux encore provoquer le désir.
    
    — Nous sortons dans deux stations, me dit-il, me faisant lâcher prise en me tirant dans ses bras.
    
    Posant son regard au plus profond de moi, une main sur mes hanches, l’autre agrippée à la barre du métro, m’obligeant à le coller pour ne pas tomber. Amplifiant délibérément les mouvements de la rame, avançant son genou entre mes jambes, sa cuisse contre mon sexe, mon corps qui bouge en tous sens, mes seins qui s’écrasent contre son torse, je fonds. Nos bouches se cherchent un instant. Un virage plus sévère, je glisse ; sa main me retient par ma jupe qui se soulève, je sens l’air sur mes fesses. Un regard rapide autour de moi, personne ne dit rien. Seul un homme assis se relève, et vient juste derrière moi, Thierry le remarque.
    
    — Plus qu’une station ne ...
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