Le chapeau de ma mère (3)
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... seins prêts à laisser couler des rivières de lait. La vision était torride !
─ Continue ton récit, je mouille comme jamais.
─ Il est arrivé à ce moment-là. Il était comme fou. Moi, je ne pouvais m’arrêter de pilonner sa sœur. J’aurais aimé qu’elle aussi soit enceinte, aussi ronde que moi. Cela aurait été le comble du vice. Il est reparti. Il a disparu quelques jours. Il est revenu le jour même de l’accouchement. Je lui ai promis de me calmer ; ça a tenu quelque temps, puis j’ai commencé à lui demander des trucs de plus en plus incroyables. Incroyables pour lui, qui était finalement très terre-à-terre dans ce domaine-là. Il a fini par prendre peur ou par être énervé, je ne sais pas finalement. Du jour au lendemain il est parti sans rien dire, rien demander.
─ Eh bien, quelle histoire !
─ Continue ton massage…
Djamila avait entrepris de masser les fesses de Véronique. Il n’avait pas fallu beaucoup de temps pour que le dérapage intervienne, mais à son corps défendant ; l’histoire n’était pas banale. Elle s’apprêtait à glisser sa langue entre les deux globes fessiers de Véronique qui était déjà bien moite.
─ Tu devrais lui dire que toi aussi tu as une sexualité, pas forcément conventionnelle…
─ Hé, mais c’est mon fils ! Je ne vais pas lui raconter mes parties de...
─ Non, bien sûr, tu n’as ...
... pas à entrer dans les détails. Mais tu l’as pris en flagrant délit et il est vulnérable, en position d’infériorité. Il faut que tu te rapproches de lui afin de le mettre en confiance, sinon il va se fermer sur lui-même comme une huître. C’est à toi de faire un geste, de te mettre à sa portée.
─ Mais je suis tout aussi déstabilisée que lui, là.
─ Mais toi tu as une sexualité déjà épanouie, pas lui. Mais commençons dans l’ordre. Que penses-tu de lui, maintenant que la surprise est passée ? Et quelle réaction comptes-tu avoir ? Parce qu’il n’y a pas trente-six solutions…
N’y tenant plus, Djamila écarta les jambes de sa collègue et plongea la langue dans cette vallée des merveilles qu’elle avait déjà visitée. Tendue comme elle l’était, Véronique sursauta au contact de cet organe expert. Et elle fondit comme un bac de glace oublié sur la plage arrière d’un véhicule lorsque deux doigts rejoignirent la langue pour étirer ses lèvres luisantes.
Allongée sur le ventre, Véronique s’abandonnait aux caresses appuyées. Son amie avait raison : après un bon orgasme – ou deux – elle serait bien plus détendue et réceptive à tout type d’argumentation. Elle essaya d’élaborer des amorces de discussions, mais bien vite elle se rendit compte qu’elle devait commencer par écouter son fils. Ou sa fille, si tel était son souhait.