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Pu te de luxe
Datte: 03/12/2019, Catégories: Sexe Interracial Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... Vous êtes trop serviable. Cela vous perdra ! » Je lui répondis avec quelque malice : »Rassurez-vous mon escapade a valu le coup ! » C'était ma façon de lui faire entendre que je n'étais pas dupe. Que je savais quant à ses goûts et ses vices. Aussi attaquais-je résolument cette fois. « Vous savez, j'étais persuadé que vous alliez user de la poste et ne pas vouloir me rencontrer ». Ce à quoi elle répondit : « En effet j'ai hésité. » Nous en étions aux confidences. Sans ambages, je lui dis : «Je vous trouve très belle. Je n'aurais jamais cru dans le plus beau de mes rêves pouvoir vous rencontrer à nouveau ». Elle éclata de rire jetant : « Vil flatteur! » Je jetais alors mon pied sous le table afin de lui caresser le sien. Elle répondit par un même geste. Par la suite je perçus qu'elle avait retiré son pied de l'escarpin et m'en caressait doucement la cheville. Je bandais ce qu’elle devait percevoir avec une excitation qui transparaissait d'autant plus dans son œil lumineux. J'admirais par ailleurs le rouge brillant sur ses lèvres charnues. Ce devait être magnifique d'embrasser une telle bouche et d'en être sucé. Elle s'appelait Marie. Je répétais à tue-tête ce prénom et le tutoiement était devenue maintenant de rigueur entre nous. Elle abandonna sa main dans la mienne. Dans un souffle je lui dis : « Il faut que je vous fasse découvrir les pornos dont j'ai parlé. » Mi-sourire elle répondit : « Volontiers. » ...
... J'embrayais : »Pourra-t-on se revoir au plus tôt ? » J'ajoutais : « Puis-je te raccompagner ? » Elle sourit. Je n'aurais pas été choquée si elle avait refusé. J’avais tant obtenu en cette première fois. En même temps je concevais qu'elle ne voulut pas me montrer où elle habitait. Elle s'en tirât par une pirouette. « Peux-tu me déposer à l'autre bout de la ville chez une amie ? » Je ne pus qu'accepter trop heureux. En fait je devinais qu’elle devait habiter à quelques pas de là et était venue à pied. Faisant la dupe et jouant volontiers au taxi, nous roulâmes ainsi quinze bonnes minutes. Il faisait sombre. Le soir était tombé. Ma main allât jusqu'à sa cuisse. Celle-ci était douce, puissante et chaude. J'adorais cette matière voluptueuse du bas qui rend si désirable la chair en dessous. Je bénissais celui qui avait inventé cela. Il avait ajouté au bonheur de l'Humanité. Écartant ses cuisses à mesure j'étais invité à aller plus loin jusqu'au sanctuaire où je savais trôner l'Enfer ou le Paradis. Sa chatte était en effet brûlante. Elle saturait d'humidité sa culotte. Marc n'avait exagéré la qualifiant de salope. Elle ne trouva pas à redire que j'enfonce d'un coup ma main qui passait les vitesses, au fond de sa culotte. Je malaxais à présent sa chatte lui arrachant ses premiers gémissements. Je trouvais plus sage et importun de nous arrêter aux abords de la route. Nos bouches furieusement se mêlèrent. Elle me dévora. ...