1. Nouvelle demeure 04


    Datte: 02/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... terminé, ils m'avertirent que je pouvais rentrer chez moi.
    
    Anne avait filmé toute la séquence ou Dave m'urinait dessus, inondant mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon pubis de sa sale pisse. jusqu'à l'instant ou le flot se tarit et qu'un seul filet jaunâtre s'écoula len-tement de son méat.
    
    Je dus ensuite m'asseoir au centre de la bâche, et ils ordonnèrent alors à Dave de s'approcher et de me rouler une pelle.
    
    Elle arrêta alors la caméra, et m'ordonna d'emmener la bâche chez moi pour la nettoyer et la ramener propre le lendemain.
    
    Je la pliais rapidement et Dave l'empoigna pour l'emmener. Il la jeta dans la cabine de douche et la savonna rapidement.
    
    Nous l'avons ensuite rincée et pendu au-dessus du rideau de la cabine de douche des invités.
    
    Ils m'avaient enjoint de raconter à Dave comment s'était passée ma journée en détail.
    
    Nous avons pris une douche rapide puis nous sous sommes couchés et il me prit dans ses bras tandis que je lui racontais tout ce qui m'était arri-vé au cours de cette maudite journée.
    
    Je soupçonnais maintenant que notre maison était équipée de micros qui leur permettaient de nous surveiller ...
    ... jour et nuit peut-être pas de ca-méras vidéos, mais tout au moins de micros espions, aussi suivais-je scrupuleusement leurs consignes.
    
    Cela me prit une bonne demi-heure pour tout raconter de ma journée à Dave, jusqu'au fait que deux jeunes gens allaient venir tondre la pelouse samedi et qu'ils pourraient profiter à leur guise de mes charmes alors que je continuerai à évoluer entièrement nue dans notre maison.
    
    J'avais pris la bite de Dave en main tandis que je lui racontais ma jour-née, tandis que je narrais mes aventures je sentais sa bite grossir entre mes doigts au fur et à mesure que mon récit avançait.
    
    Je réalisais que mon rapport l'excitait grandement, cela me convenait parfaitement car moi aussi je sentais mon émoi grandir, et je savais maintenant que je n'étais pas la seule à ressentir ces effets.
    
    Lorsque je terminais mon récit, je me penchais sur lui et le suçais ten-drement, une de ces fellations auxquelles j'avais été tant entraînée ces quatre derniers jours.
    
    - Mon Dieu... Pensais-je soudain
    
    - Cela ne faisait que quatre jours!
    
    24 avril 2008
    
    Coulybaca
    
    Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
    
    Vulgus 
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