1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1288)


    Datte: 01/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... vénération adressée à Vous Seigneur et Maître absolu de mon corps. Votre chienne soumise et dévouée qui fera tout pour Vous satisfaire ».
    
    Je relus mon message avant de Lui l’envoyer, puis ne voyant rien à changer ni à modifier, je me décidais enfin à envoyer ce message au Maître Vénéré. Ensuite, j’allais vaquer à mes occupations tout en ayant toujours une pensée dans ma tête pour Monsieur le Marquis. C'est ainsi que la semaine se passa sans grand événement et me préparant ainsi à cette prochaine séance D/s qui ne devrait plus tarder à arriver, le mardi arrivant à grand pas. Plus le jour se rapprochait, plus j’étais excitée et à la fois anxieuse pour que tout se passe bien…
    
    Le fameux jour arriva, je me levais le matin, remontée comme une pendule, ne tenant plus en place et essayant d'occuper mon temps du mieux que je le pouvais pour ne pas angoisser, faisant le ménage à fond pour L’accueillir dans un (mon) appartement propre, sans poussière et bien rangé. Le moment tant attendu arriva enfin et je vis sur ma montre qu'il était 13h55. J’en profitais pour vérifier les derniers détails et que tout était en ordre et en règle pour l'accueillir comme il se doit. Après quelques minutes de patience (et d’impatience surtout, excitée comme une puce) et d'attente, j'entendis sonner à l'interphone. Je me dirigeais prestement vers la porte d'entrée pour aller Lui ouvrir en ayant bien sûr vérifié que c’était Lui au préalable et ensuite en appuyant sur le bouton laissant la porte entrouverte par un petit bâillement. Je me dénudais très rapidement comme Il l'avait exigé et je me mis dans la position qu'Il m'avait ordonné et attendis ainsi sans bouger. Mon attente ne fut pas longue, c'est seulement après quelques secondes que je l'entendis ouvrir la porte et aperçus Ses chaussures cirées. Je vis qu’il resta immobile et silencieux. Ce moment dura quelques instants, jusqu’à que Monsieur le Marquis décida de briser ce silence en me disant :
    
    (A suivre …)
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