1. mes oncles, mon père... (4)


    Datte: 01/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Tess85, Source: Xstory

    ... avoué qu’il adorerait la voir toute nue…
    
    à la suite de ces révélations, Léa a fait cent fois le tour de la table du salon en se tenant la tête, estomaquée, outrée, grisée, choquée, tremblante d’effroi, d’envie… "Ouille ouille ouille !"
    
    je l’ai bloquée contre moi puis je lui ai murmuré à quel point elle allait adorer…
    
    — Oui mais...c’est mon papa ! Il ne sait toujours pas que ça va se faire ! Il pense à moi, c’est tout !
    
    — Et c’est énorme ! c’était le doute à dissiper afin de ne pas se vautrer et que tu sois répudiée par ton père, ta famille ! Demain soir, on l’invite à l’apéro. TU l’invites ! Tout dépend de toi, maintenant, ma puce.
    
    — C’est horrible ! Je ne pourrais pas, jamais, non ! Je suis désolée mais… non !
    
    On s’est regardées, moi amoureuse et elle désespérée.
    
    Le lendemain à huit heures, Léa s’invitait au téléphone chez son père pour l’apéro du soir. Elle lui demandait alors si ça le dérangeait que je vienne. La minute suivante, elle vomissait aux toilettes. La tentation est si grande… la peur tout autant.
    
    On arrive chez ses parents à 19 heures. La mère de Léa travaille encore de nuit. Elle nous foutra dnc la paix. d’ailleurs, je suis sûre que son père ne lui en a pas parlé, de notre venue. Comme pour éloigner davantage ces idées "immondes" de la vie sage et rangée qui est la leur habituellement…
    
    quand la porte s’ouvre, je sens Léa se crisper terriblement. Elle sourit pourtant en apercevant son père qui paraît tout autant tendu qu’elle. Moi, ...
    ... je souris, heureuse…
    
    Il embrasse tendrement sa fille et on se fait un bisou sur la joue. Il nous fait entrer directement au salon. L’apéritif est prêt. Le grand jeu va commencer. Léa tremble sans parvenir à se contrôler et il me faut des caresses appuyées dans son dos pour la calmer. On commence à discuter de banalités. Le papa nous sert à chacune un whisky. On a demandé du "fort" tout de suite. Surtout Léa qui se mordille les lèvres. Elle sait ce qu’elle doit faire dans quelques minutes. Cela lui paraît insupportable. Je pense à cet instant que tout va tomber à l’eau. Cela ne sera pas grave. Je ne veux pas lui mettre plus de pression, je l’aime trop pour cela et elle doit rester maîtresse de son destin.
    
    Elle est magnifique dans sa toute petite jupe bleue. Son petit chemisier blanc lui donne un petit air d’ange. Je lui ai imposé ces vêtements. Pour des raisons simples qu’elle va comprendre ensuite. Si il y a une suite. Pas de culotte, bien sûr. Je me demande alors si elle mouille ou bien si c’est terre aride et sans vie.
    
    On a fini nos verres et on remet ça. On se détend d’un coup. Tout va bien. Léa commence à desserrer les cuisses. J’avance un pion :
    
    — Maman m’a dit qu’elle vous a rencontré hier soir…
    
    Je crois le perdre dans la seconde. Il rougit puis il balbutie, perdu :
    
    — Ta...maman ? Oui ! Heu… dans quelles circonstance, qu’elle a dit ?
    
    — Vous faisiez la queue, je crois… la caisse était pleine, noire de monde et la fille peinaient à satisfaire tout le ...
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