1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1135)


    Datte: 01/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Gladys au Château –
    
    Je vacillai dans l’inconscient… car Monsieur le Marquis mélangeait, avec une évidente dextérité, fessées et caresses arrondies sur mon fessier tout en fouillant parfois mon sexe trempé du bout de ses doigts, pour finir uniquement par une incroyable douceur caressante qui me fit tomber dans un premier temps dans un certain bien-être, puis dans un doux évanouissement lequel je ne pus me soustraire causé aussi par la forte émotion que tout cela provoquait en moi, ce qui me fit perdre pied, comme apaisée je perdis donc conscience… Je me réveillais beaucoup plus tard, dans un grand lit à baldaquin orné sur les quatre côtés de beaux rideaux constitués d’une magnifique étoffe dorée légèrement transparente telle de la soie orientale bordée de liserés d’or. Je me trouvais sans aucun doute, dans une des nombreuses chambres du Château. Le soleil était couché depuis peu. Les yeux ouvert, regardant le plafond, j’essayai d’éclaircir ce qu’il s’était passé avant de perdre connaissance. C’était encore un peu flou et je me demandai si je n’avais pas rêvé cette curieuse punition, qui je n’osais me l’avouer à moi-même, était plus que délicieuse… J’entendis tout à coup le bruit d’une page que l’on tourne et je me redressai pour voir d’où venait ce petit bruit. Je vis alors Monsieur le Marquis d’Evans, assis dans un fauteuil confortable, tenant dans sa main le magnifique livre que j’avais fait tomber plus tôt. Il leva ses yeux vers moi pendant que je me redressais.
    
    - ...
    ... Vous voilà enfin réveillée, dit-il en me regardant droit dans les yeux, je commençais à croire que vous dormiriez jusqu’au matin. Mais heureusement pour vous, je ne me suis pas ennuyé car après votre punition, j’ai eu l’envie de relire encore une fois ce cher livre que vous aviez fait tomber et lequel je tiens beaucoup.
    
    J’étais gênée et je commençais à rougir lorsqu’il se mit à parler de ma punition. Ainsi je ne l’avais pas rêvée. Je fronçai les sourcils au souvenir de mon incroyable docilité, sûrement dû au coup contre l’étagère que je venais de recevoir, me dis-je. Instinctivement, je remis ma main sur ma tête.
    
    - Ne vous inquiétez pas pour cela, je l’ai fait examiner par mon médecin personnel et il m’a assuré que vous allez bien, et que votre défaillance est dû en parti au coup que vous avez reçu mais également à votre excitation que j’ai senti par l’humidité de votre intimité et à votre forte émotion qui en a suivi…
    
    Je rougis de plus belle et baissai la tête, honteuse de mon excitation, qui j’avais l’impression revenait suite au parole du Marquis. C’est alors que je remarquai que l’on m’avait changé. Cela dû se voir car Monsieur le Marquis ajouta :
    
    - L’on vous a changé avec des vêtements trouvés dans votre voiture, expliqua-t-il. En effet, l’on ne savait pas combien de temps vous alliez rester sonnée et également pour ne pas abimer votre robe, laquelle je l’ai fait laver, sécher et repasser impeccablement.
    
    J’étais donc assise sur ce lit, les couvertures chaudes ...
«1234...»