Réflexions sur le sexe 2ème partie
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Partouze / Groupe
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... avait parlé, dans l’intimité de son bureau.
Cela n’était qu’un écart purement physique, car elle était très jolie et il pensait souvent à elle comme une proie très désirable… trop désirable…
Ce soir-là il avait craqué, et s’en excusait en la vouvoyant, mais ne pouvait lui assurer un sentiment durable et profond, mais avait apprécié…
- On se tutoyait avec le PDG, on le faisait aussi avant et après quand tu étais revenu. André, je continuerai à t’ouvrir ma porte quand tu en sentiras le désir… Depuis 15 ans que je suis ici, tu es parti aux States faire une longue formation dans les transports et le management, qui t’a permis de t’investir lors de l’attaque de ton père.
J’ai compris tes fiançailles avec ta banquière, puis ton mariage convenu, tu ne me regardais plus ces mois-là… Ta femme Agnès, était désirable, riche, magnifique, elle te comblait. Maintenant que le désir est retombé, et tu me vois enfin au fond de mon bureau, ou lors d’un repas d’Entreprise… J’ai 35 ans, je suis encore célibataire, je me suis donnée à cette entreprise, pour moi, pour ma réussite professionnelle. Nous avons souvent lutté ensemble pour sauver ou gagner un client, tard dans la nuit car au bout du monde, mettant en commun nos connaissances des langues, des règlements, des lois.
Tu en as toujours été reconnaissant, me faisant cadeaux et augmentations en fin d’année, pour compenser mon savoir et mon dévouement. Tu n’as jamais eu de geste équivoques, de regards salaces ou concupiscents, ...
... de paroles déplacées à mon égard. J’aurais tant aimé compter pour toi, te faire craquer, que parfois j’espérais…
Moi aussi j’ai apprécié.
- Je t’ai souvent désirée en silence, regardant la naissance de tes seins, surtout en été, mais je te respectais et gardais à l’esprit les paroles de mon père, garde-la, respecte-la surtout, c’est une perle, elle nous suit et aime son métier et nous fait du bien en silence, effacée mais si efficace…
- Merci…
- Merci à toi, moi aussi j’ai continué à te tutoyer, tu es mon bras droit, et tu le resteras coûte que coûte. Ma relation avec Agnès est particulière, tu l’as compris. J’ai joué le jeu de nos familles, nous avons failli être rachetés, perdant notre autonomie, Agnès s’est battue et nous a aidé personnellement. Elle a pris des parts de garantie dans la société, mais nous sommes toujours majoritaires, maman, ma sœur, et moi, mon père m’ayant tout cédé…
- C’est bien, j’avais vu les statuts et compris…
- Tu ne t’es jamais mariée ?
- Non, j’étais souvent là, ne sortais que rarement. J’ai eu quelques bons amis, deux ans pour le plus fidèle, parti l’an passé, mais sans moi… Bof, on s’est aimés, comme pour les autres, mais je sens l’âge fatal arriver. La quarantaine est au bout, j’aimerais avoir un enfant… Vivre une vie normale…
Tu m’as faite rêver samedi et surtout dimanche… Mais je savais ce que tu allais me dire lundi…
- Ne t’en formalise pas. Je te disais la situation. Je suis marié avec ma banque… Pas question de ...