Les mésaventures de Laure - Partie 3
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Laurescenario, Source: Hds
... continue d'appuyer mais je hurle de plus belle, mon petit trou n'étant absolument pas préparé. "Putain, fais chier, t'es vraiment bonne à rien comme pute" il commente alors énervé arrêtant sa poussée. "Bon, ben ça fera déjà 10 euros de moins de gagné !" il ajoute sévère en me donnant une nouvelle fessée. "Bon Marcel, va à la cantine trouver le chef et dis-lui qu'on a une salope qu'on arrive pas à ouvrir ici. Il a toujours de bonnes idées pour y arriver". Marcel le greffier sort alors de la salle pour se rendre jusqu'au réfectoire du palais.
Pendant ce temps, le juge prend une chaise et s'assoit. "Bon amenez-la moi sur les genoux en attendant". Mohamed me relève pour venir me positionner en avant sur les genoux du vieux juge Lantier, la poitrine et les jambes dans le vide, la culotte tombée sur les chevilles, les mains toujours menottées dans le dos alors que je sens sa queue encore raide sous mon ventre.
"Approchez tout le monde, on va regarder ce qu'elle cache un peu sous sa chemise en attendant, la petite pute qui sait pas se faire enculer ahaha". Tous les hommes se lèvent pour venir voir pendant que le juge ouvre les boutons de ma chemise. Mes gros seins tombent et pendent sous moi, allongée comme ça. "Putain, elle a une sacrée paire la salope" ne peuvent alors s'empêcher de s'exclamer en cœur le gros René et le brigadier Mohamed qui les découvre pour la première fois. Le juge les soupèse un peu dans ses mains, les malaxe en pinçant un peu les tétons comme pour ...
... tester leur réaction. "Bon, moi c'est surtout ton cul qui m'intéresse ma jolie pour l'instant, fais donc voir se que tu caches de plus prêt". Le juge dézipe alors ma petite jupe plissée aidé immédiatement par le brigadier qui tire dessus en me soulevant un peu les jambes pour l'enlever. Dans le même mouvement, il retire ma culotte qui trainait sur mes chevilles ne laissant que mes escarpins aux pieds. Le juge remonte également la chemise dans mon dos pour dégager complètement la vue sur mon fessier.
"Monsieur le procureur, ramenez-moi le stylo, on voit plus ce qui était marqué, c'est dommage". Le procureur prend tout de suite le sac contenant le stylo et le donne au juge alors que je suis toujours ridiculement allongée sur ses genoux, le cul et les nichons à l'air, menottée et impuissante devant toute l'assemblée qui observe. Le juge sors alors le stylo et s'applique à écrire de manière bien lisible et à sa façon "petit trou bientôt dépucelé" avec une nouvelle flèche vers le bas.
Je n'ai qu'une peur, c'est qu'il continue avec le stylo et me l'enfonce dans les fesses comme l'ont fait les routiers mais il le range dans son sac et le redonne au procureur pour qu'il le repose au contraire. Je suis soulagée un instant alors qu'il commence à malaxer doucement mon cul devant lui sans rien dire. Il écarte mes fesses et pose son index sur mon petit trou. Toutefois, il tourne alors doucement dessus sans appuyer vraiment, testant juste légèrement l'élasticité. Mais d'un coup, il relève ...