1. Toutes les femmes s’appellent Marie : Un intermède à la cave avec Floriane


    Datte: 29/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... mouvement. Un coup d’œil vers ma voisine et je vois qu’elle se mord les lèvres. Son mari est trop occupé à regarder le show et à lorgner Marie pour se rendre compte de l’état d’excitation de sa femme.
    
    La petite séance du rigolo de service se termine et nous sommes bien obligés d’applaudir en riant. J’ai ainsi l’occasion d’amener ma main à hauteur de mon nez et de sentir les effluves de ma compagne. Cela sent très bon et me donne envie d’y goûter directement avec mes lèvres. J’aperçois alors à l’autre bout de la table Nadia qui me fait un clin d’œil entendu. La coquine s’est rendu compte de notre petit manège et sourit en nous regardant. Je ne dis rien à ma voisine.
    
    Floriane, m’entraîne au sous sol, elle m’a donné son prénom comme un trophée, sous le prétexte de me montrer sa cave (je passe sur la mauvaise interprétation que l’on peut en faire) L’accès se fait par un sas pour éviter les différences de température et une porte protégée par un code secret. Floriane est la seule avec son sommelier, me dit-elle, à connaître ce code.
    
    La cave est assez vaste. Tout autour, des casiers avec les bouteilles rangées et au milieu une table.
    
    A peine entrés, Floriane se colle à moi et m’embrasse.
    
    - « Je suis excitée depuis une heure ! Je coule comme une fontaine ! On a quelques minutes, alors viens me bouffer la chatte et me baiser ! »
    
    Sur ce, elle s’assoit sur le bord de la table écarte ses jambes et relève le bas de sa robe. Je ne suis pas de bois et elle m’excite cette ...
    ... salope. Je plonge mon visage entre ses cuisses charnues et ma langue trouve aussitôt son gros clitoris bandé pour lui provoquer un premier sursaut de plaisir. Je lape sa mouille abondante et me régale. Elle appuie ma tête contre sa motte poilue, mon nez se remplit de ses fragrances et mon visage baigne dans sa liqueur. « Viens ! Prend-moi ! crie-t-elle en écartant ma tête.
    
    Je me relève, ouvre mon pantalon et le baisse suivi du caleçon. Ma queue est tendue. Je me guide de la main et la pénètre sans attendre.
    
    Ses soupirs montent d’un cran et je la baise à fond. Floriane crie fort mais personne ne peut l’entendre d’ici. Ses grosses loches ballottent sous son corsage. Depuis le début de la soirée elles me narguent, aussi je descends la fermeture éclair de sa robe et je sors ses deux belles outres pour les malaxer. Elle prend un pied terrible puis se cabre d’un coup et explose. Il était temps car le sentais venir ma propre jouissance ! Je me laisse aller et jouis fortement à mon tour.
    
    Après ce moment de folie on s’embrasse goulûment. On transpire malgré la fraîcheur de la pièce. Heureusement il y a un distributeur de papier et nous pouvons nous essuyer. Nous nous rhabillons pour retrouver un semble de normalité.
    
    « Ce n’est pas grave. Lance Floriane. De toute façon tout le monde sait ou se rendra compte qu’on a baisé. Moi, ça ne me dérange pas et personne ne dira rien.
    
    Même pas ton mari ?
    
    Lui ? Il ne se gêne pas. Je vais bien rigoler de la veste qu’il va prendre ...