On s'éclate au club - Histoires de Sexe

On s'éclate au club

... seins écrasés les uns contre les autres était hautement érotique. Les deux salopes se roulaient une longue pelle, tandis qu’elles se tripotaient mutuellement la chatte.

— Huuummm ! Elle est bonne cette jute… Tu veux qu’on aille se lécher le minou chérie ?
— J’allais te le proposer !

Elles se retournèrent ensemble vers moi.

— Vous vous connaissez ?
— Oui, ça fait déjà quelque temps ! Nous sommes des habituées du club !
— Alors ce n’est pas par hasard que nous nous sommes retrouvés à cet endroit ?
— Euuuh… non ! dit Michelle. Je sais que si Viviane n’a rien trouvé de mieux, elle vient avec son mari pour une levrette dans cette pièce. Quand j’ai la chance de trouver un bon coup, je l’amène ici pour qu’elle en profite. C’est normal non ? Elle me rend la pareille quand elle peut !… On va se gouiner un peu ! Tu peux venir avec nous si tu veux ! Mais tu regardes seulement, maintenant c’est l’heure des femmes !

Et sans plus de cérémonie elles allèrent s’allonger tête-bêche et entamèrent leur séance de léchouille. Je ne voyais pas grand-chose, si ce n’est qu’elles avaient l’air de mettre beaucoup d’ardeur à se lécher mutuellement la foufoune et ce qu’elles contenaient de choses gluantes. Mais elles semblaient aimer ça car elles se mirent bientôt à gémir l’une comme l’autre, et je suis certain qu’elles se donnèrent un nouvel orgasme mutuel qui, bien qu’obtenu sans l’intervention d’un homme, n’en était pas moins intense.

Conscient de n’être plus d’aucune ...

... utilité, je sortis de la pièce, récupérai mes vêtements et entrepris de rechercher mes compagnons de la première heure.

Retrouver les amis avec qui j’étais entré au VIP paraissait simple. Encore fallait-il les repérer parmi les couples et les groupes qui s’ébattaient dans les différents coins de la boîte dans une lumière plus que faible et dans des postures qui ne facilitaient pas toujours une identification rapide.

Sans vraiment chercher, je décidai de me diriger vers le bar. J’y retrouvai notre hôtesse Jessica qui, fidèle au poste, s’occupait des clients qui souhaitaient se rafraîchir entre deux mélis-mélos. Elle était toujours aussi appétissante et je me demandais si elle-même consommait.

— Tiens ! Mais c’est le jeune gigolo de la soi-disant amie de Charles-Henri. Alors jeune homme, cette maison te convient-elle ? Y as-tu trouvé de bons coups ?
— Ça me plaît énormément ! L’ambiance est vraiment très érotique et super sympa !
— Tu fais une pause ou tu cherches quelqu’un ?
— Les deux ma belle !
— Qui cherches-tu ?
— Peut-être toi ? Qui sait ? Tu me plairais beaucoup !
— Ce serait avec plaisir, mon chou, et je suis certaine que ce serait très agréable. Mais moi aussi je fais une pause. Gérard est quelque part en train de s’envoyer en l’air, et nous avons une règle qui est absolument impérative : il y a toujours l’un de nous deux qui est au bar pour servir les clients. Tu vois que nous sommes des adeptes de ce que nous proposons !
— Dommage ! As-tu vu Béatrice ou ...