Vacances sans mon mari - Histoires de Sexe

Vacances sans mon mari

J’étais partie pour passer une semaine au soleil, tranquille, pour m’évader un peu du quotidien. A 51 ans, je suis femme au foyer et j’avais envie d’oublier tout pendant quelques jours.

Le premier soir, lors de la fête d'accueil du club de vacances, un homme me drague. Comme j'ai un peu bu et qu'il me branche bien, je me laisse séduire.

Il me propose :.

« Tu viens prendre un dernier verre dans mon bungalow ? Mes deux potes vont rester à danser jusqu'à la fermeture de la boite. »

J'accepte volontiers. Il me prend par la taille et m'embrasse délicatement et je réponds à son baiser. Me voyant pas farouche, il s'enhardit en me caressant les seins. Je sens son sexe durcir, contre ma cuisse et ça me fait mouiller.Rapidement, le dernier verre c'est transformé en tripotage. Nos vêtements ont volé. Ses mains tripotant mes seins, jee le masturbe et pelote ses couilles pleines et prometteuses. Nous avons fait un 69 d'enfer. Je le suce avec avidité pendant qu’il me suce le clito. Sans aucune pénétration, nous jouissons de nos caresses buccales. J'avale son onctueuse semence et l'alcool aidant, nous nous endormons dans cette position indécente.

Nous sommes réveillés par ses potes qui allument la lumière en entrant dans le salon où nous étions encore nus, têtes bêche. Ils se sont mis à nous charrier et rapidement à faire des réflexions sur mon anatomie attrayante.

« On s'embête pas pendant notre absence ! Roulée comme t'es, tu dois être une bonne salope ! »

Sur ces ...

... mots,'un d'eux m'a écarté les cuisses et sa langue agile s'est mise à me fouiller la chatte. L'autre me malaxe les seins et en sortant sa grosse queue, il la fourre entre mes globes et commence à se masturber entre eux. Je suis emportée dans un tourbillon et ne réagis même pas. Mon premier amant me fourre sa queue dans la bouche pendant que son copain qui me bouffait la chatte m'enfile d'un coup de rein.J'ai au creux de mon ventre des sensations délicieuses.

Au bout de quelques minutes, l'accélération des vas-et-vient, annonce la jouissance imminente de celui qui me baise. Dans un grognement bestial les deux autres éjaculent entre mes seins et dans ma bouche. Je me cambre dans un spasme orgasmique en couinant comme une chatte en chaleur dans un orgasme douloureux. Après cet assaut plutôt musclé, nous passons sous la douche en rigolant. Puis, devant mon attitude de femelle en chaleur, l'un d'eux m'ordonne d'un ton autoritaire que je ne connaissais pas :

« Marche comme une chienne dans la pièce qu'on se marre un peu ! »

Je m'avance comme ils le souhaitent. Bien sûr, j'aurais pu refuser, mais j'ai envie de m'éclater pendant cette semaine de vacances et ne me doute pas du sort qu'ils me réservent. Je joue le jeux humiliant. Bien installés, ils commentent chaque partie de mon corps et comment l'utiliser.

Devant un tel spectacle, ils rebandent et me baisent en changeant les positions. Je joui une foi de plus et c'est dans une sorte d’apothéose de stupre qu'il se termine en ...