Un couple fusionné
Datte: 28/11/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fagée,
couple,
douche,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
délire,
fantastiq,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... vais t’en mettre une deuxième, ça t’apprendra.)
Mais la tentative échoua. Comme quand il l’avait caressée ; elle avait pris conscience de ce qui se passait, alors elle avait repris le contrôle de son bras.
(Faut que j’arrête, je commence à analyser ça comme si c’était la réalité ! Tu rêves, mec !)
Les deux femmes continuèrent à bavarder un long moment. Marlène rassura Agnès sur cette gifle qui devait être un geste réflexe, séquelle probable de son accident. Lorsqu’elle partit, elle se pencha de nouveau pour embrasser sa copine. Robert ne put résister : il lança la main droite au mafflu fessier dans une caresse dénuée de toute équivoque. Il s’attendait à une réaction ; il fut déçu : non seulement Marlène ne broncha pas, mais elle prolongea intentionnellement le contact.
(Intéressant…)
************
Robert perdit de nouveau conscience peu après le départ de Marlène. Il se réveilla pour le « déminervage ». Il put enfin regarder autour de lui, constata qu’il n’y avait rien d’intéressant à voir. Il se rendormit, émergea pour la visite de son fils pas si catastrophé que ça par la mort d’un père pour qui il n’avait guère de respect. Plusieurs autres visiteurs sans intérêt se succédèrent. Durant ces visites, Robert cogita. L’idée qu’il était mort et qu’il squattait le corps de sa veuve prenait corps progressivement. Il trouvait assez cocasse d’entendre ses proches dire ce qu’ils pensaient de lui. Était-il un hôte inerte ou pouvait-il agir ? À trois reprises, le ...
... corps d’Agnès lui avait obéi avant qu’elle ne s’en rende compte. Y’avait un truc à creuser.
La venue de Paul, l’amant de sa femme et accessoirement son meilleur ami le tira de ses réflexions. L’intrus se pencha et, sans gêne aucune, embrassa goulûment Agnès.
(I refoule du goulot ce porc ! Et en plus il me… lui met la main sur la chatte ! Ben voyons ! Sans Eugène, y’a pas de plaisir !)
Ce qui mettait particulièrement en rage Robert était de sentir le corps de sa femme réagir au baiser, à la caresse : un certain alanguissement, une moiteur suspecte entre les cuisses.
(C’est pas possible, il veut lui récurer les amygdales !)
Robert n’en pouvait plus : cette langue qui fouillait la bouche d’Agnès et qui lui provoquait des picotements dans tout le corps, c’était trop. Il mordit… sans retenue.
— Mais t’es folle ! cria Paul en se jetant en arrière.
— Je suis désolée. Je sais pas…
— Hier, tu me massacres la main et aujourd’hui la langue. Si tu veux pas, faut…
— Mais non mon chéri. Je ne suis pas à l’aise ici. Pis j’ai l’impression que ce n’est pas moi qui fais ça ; enfin, je veux dire que…
— Tu vas me dire que c’est le fantôme de ton cocu de mari.
(Ta gueule, connard !)
— Ta gueule, connard !
— Quoi ? Tu me traites de connard ?
(Casse-toi ! Tu me les brises !)
— Casse-toi ! Tu me les brises !
Paul fut sur ses pieds avant qu’Agnès réalise ce qu’elle avait dit.
— On croirait entendre ton mari. T’en fais pas, j’m’casse et t’es pas prête de ...