Un couple fusionné
Datte: 28/11/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fagée,
couple,
douche,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
délire,
fantastiq,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... que le mot « fin » avait été écrit qu’elle était passée à autre chose. Ce n’était pas la cause de son appel. La rumeur se répandait dans le village qu’elle avait une liaison avec la coiffeuse, et il la noya sous un flot d’insultes avant qu’elle ne lui raccroche au nez.
Cela déclencha une discussion surréaliste à deux niveaux : Agnès avec Marlène et Robert avec Agnès. Robert, retrouvant son instinct batailleur, voulait aller casser la gueule à ce connard ; Agnès lui répliquant que le « pur esprit » qu’il était devenu aurait quelque mal à user de ses poings virtuels. Marlène, guère moins agressive, proposait d’aller lui couper les couilles et de les lui faire bouffer.
(T’as vraiment bien choisi, ma poule : ta nana est un mec comme je les aime… avec quelque chose de plus.)(T’as fait des progrès, mais tu restes un sacré macho !)(Parce que le Paulo, en te traitant de gouine, de bouffeuse de chatte, il n’est pas macho peut-être ?)(Il a fallu mon accident pour que j’ouvre les yeux.)(Elle a raison, Marlène : faut lui faire bouffer ses couilles !)(Vachement réaliste, comme proposition…)(Métaphoriquement, je veux dire.)
Les deux femmes, aiguillonnées par les insinuations perfides et répétées du mort, finirent par trouver une solution.
Le soir même, Agnès déboulait chez Paul. Pour l’occasion, elle portait une jupe noire, ample, qui lui arrivait au-dessus des genoux, des Dim-up noirs et un haut sexy moulant sa poitrine mais ne révélant rien, noir bien évidemment. Elle ...
... sonna. Paul lui ouvrit la porte.
— Qu’est-ce que tu fous là ? lui cracha-t-il, peu amène.
(Allez ma poule, te dégonfle pas. Fonce !)(J’vais pas me dégonfler. Avec lui, je vais régler mes comptes avec tous les machos de ton genre qui exploitent les nanas.)
Sans un mot, elle le repoussa à l’intérieur de l’appartement jusqu’au salon. Son handicap se révélait un avantage car Paul n’osait pas la brusquer de peur de lui faire mal. Comme elle le pensait à cette heure, il était en pyjama et en tee-shirt. Ça l’arrangeait. Elle l’accula contre son canapé. De sa main libre, elle agrippa le haut du pyjama et, tout en s’agenouillant, elle le descendit sur ses genoux.
— Mais… mais…
Une bite molle mais d’un beau volume apparut.
(Bel engin ! Je comprends mieux. Pas si beau que le mien, m’enfin…)(Avant de ricaner, attends de le voir quand il bande.)(D’accord ; mais est-ce qu’il savait s’en servir ?)(Ça, mon chéri, ça ne te regarde pas. Et tu ne le sauras jamais, car ce soir c’est moi qui vais me servir.)
Elle l’empoigna de sa main libre, et sans tendresse aucune l’amena à sa bouche. Elle l’enfourna avec une facilité qui dénotait une certaine habitude. Paul, saisi, continuait de bêler :
— Mais… mais…
S’il eut un instant la pensée de la repousser, le temps qu’elle arrive à son cerveau sa bite avait décidé que c’était une mauvais idée. Son volume et sa longueur avaient déjà doublé.
(T’as raison : sacré morceau ! T’as pas eu de problèmes ?(Ben non. Juste une question de ...