Claude-Marie: Cahier 1 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 1

... entre? »

Finalement Florence et moi avons été nous coucher pour le reste de l'après-midi. C'est l'odeur des grillades qui nous a réveillés. Quand nous avons été rejoindre nos amis, ils étaient tous nus. Ma mère s'affairait au grill. Nous avons mangé avec eux puis nous avons été nous préparer pour la soirée.

Florence a réussi à entrer dans ma robe bleue qu'elle emplissait complètement. La robe mettait ses gros seins en valeur. Elle a emprunté des sandales sans talons de ma mère. Moi j'ai mis la robe blanche avec de la dentelle. J'ai gardé mes jambes nues et j'ai enfilé des sandales blanches à talons hauts. C'était plus sage ainsi. Florence m'a maquillée pour une soirée plus sage aussi. Je portais aussi le cadeau de Max et le collier que ma mère m'avait offerts. Florence s'est maquillée comme je l'étais la veille avec beaucoup de noir autour des yeux. Elle était à croquer.

À 19 h 30 j'entends la porte et je me précipite sachant qu'ils sont nus à la piscine. C'est le chauffeur, un homme âgé. Une longue limousine nous attend à la porte. Florence vient me rejoindre et en moins de cinq minutes nous sommes en route à l'arrière de la limousine. Florence est à genoux sur le siège avant et passe la tête par la fenêtre qui nous sépare du chauffeur. Elle lui pose plusieurs questions indiscrètes. En fait, elle veut savoir si l'homme a déjà été témoin de scène torride à l'arrière de son véhicule. Il est très réservé et résiste à interrogatoire. Après une quinzaine de minutes il ...

... nous avoue qu'il voit couramment des gens baiser dans sa voiture et que de surplus une scène d'un film pornographique produit par des professionnels a été tournée à l'arrière.

Il nous avoue que cela ne l'intéresse plus autant, vu son âge. Au contraire, bien qu'il soit payé pour ses services il trouve toujours difficile d'aller nettoyer son véhicule après de tels ébats.

Nous arrivons 30 minutes plus tard à ce que décrirait comme un manoir. La porte d'entrée semblait faire cinq mètres de haut. Le chauffeur nous a demandé d'attendre un instant. Il a été cogner à la porte du manoir puis est venu nous ouvrir la porte de sa limousine qu'il a tenue solennellement. Un homme en habit tenait la porte de manoir ouverte et nous tendait le bras. Florence et moi sommes rapidement entrées dans un grand foyer vide. J'entendais des voix derrière les portes, mais il n'y avait personne d'autre que le domestique qui était visible. Le domestique nous a dirigés vers une porte à droite qu'il a ouvert.

La porte donne dans une grande salle de conférence capitonnée. Les murs sont couverts de boiserie foncée, le plancher d'un riche tapis. Une douzaine de chaises en cuirs sont disposées autour d'une grande table en bois. Je suis impressionnée et j'ai l'impression de retenir mon souffle. Dans la salle il y a trois femmes, une jeune qui se lève dès que nous arrivons et deux dames âges qui restent assises près du bout opposé de la table. La jeune femme à de longs cheveux blonds bouclés qui flottent ...