Claude-Marie: Cahier 1 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 1

... mère descend sur la verge qu'elle tient avec sa main pour la positionner. La femme place ses bras sur les épaules de ma mère. Ils forment un triangle amoureux, tant au sens propre que figuré. La femme s'approche de ma mère et les deux femmes s'embrassent.

Je crois que cette vision combinée au traitement que me fait subir Florence a été le déclencheur de ma jouissance. Je me souviens d'avoir placé mes mains sur le visage de Florence et sous sa mâchoire pour tenter de la faire se relever et me donner une chance de reprendre le contrôle, mais elle ne m'a pas laissé faire. J'ai explosé dans sa bouche. Ses lèvres maintenaient un contact étroit avec mon gland et elle suçait mon jus hors de moi. Pendant que je jouissais férocement. Quand j'ai eu fini d'éjaculer, Florence a laissé tomber sa tête par en arrière et m'a regardée avec amour.

« Florence c'était fantastique, je t'aime... »

Comme je disais cela, je me laissais glisser vers le sol pour aller la rejoindre. Nous avons fini toutes les deux étendues sur le sol et nous nous sommes embrassées longuement et avec fougue cette fois. Rapidement, mon érection est redevenue pleine.

« Viens, on va aller dans ta chambre. Je vais te montrer à faire l'amour comme une fille. » Cette nuit nous avons fait l'amour longuement. Elle m'a montré à faire l'amour en douceur. Elle m'a parlé longuement et m'a montré comment caresser une femme et un homme pour augmenter le plaisir. Elle m'a fait découvrir des positions et comment utiliser ...

... ma langue et mes lèvres. J'ai découvert une volupté que je ne connaissais pas. J'ai appris à être à la fois une tigresse et une chatte dégriffée. Tout à coup, faire l'amour prenait une nouvelle dimension qui ne passait plus que par ma queue.

Florence m'a enseigné que je pouvais atteindre le nirvana d'une façon très cérébrale, très émotive et que je pouvais atteindre l'orgasme par des stimulations très mécaniques. Elle m'a fait découvrir plusieurs zones érogènes et j'ai joui de ses baisers sur ma bouche et sur mes seins. Elle a stimulé ma prostate avec un doigt. En retour, elle m'a fait découvrir ses zones érogènes et je l'ai fait jouir à plusieurs reprises pendant cette nuit torride.

À un moment, nous avons entendu ma mère entrer et aller se coucher seule de toute évidence. Nous nous sommes finalement endormis quand le soleil se levait.

Dimanche 28 juillet 2002

Je me suis réveillée quand j'ai entendu ma mère marcher dans le corridor. Je réalise que la porte de ma chambre est ouverte. Florence et moi sommes nues sur le lit quand ma mère passe devant l'embrasure de la porte. Elle se tourne vers nous et nous regarde avec amour. Je relève la tête et je lui souris. Florence est lovée contre moi. Elle me souffle un baiser puis va prendre sa douche. Je regarde mon cadran, puis je reprends ma position dans le lit. Florence se réveille.

« Bonjour ma chérie, quelle heure est-il? » me demande-t-elle.

« Bonjour mon amour. Il est 11 h 30 »

Elle se lève subitement dans ...