1. LE CUL DE MA VOISINE


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: matlr, Source: xHamster

    Je suis un pere de famille vicelard qui mate les beaux petits culs des jeunes femme, marié depuis longtemps à une femme avec qui j’ai eu des enfants je ne rate pas un occasion de la cocufier meme si je l’aime énormement.
    
    Depuis des mois je mate en douce la fille de 20 ans qui vie dans la maison d’a coté, c’est étudiante en histoire qui semble avoir une vie plutot rangée. Pour tout vous dire, elle est très très craquante, craquante comme on peut l’être à 20 ans quand on est mignone, qu’on le sait et qu’il fait chaud dehors. Ses tenues légères laissent deviner des formes rondes, fermes et épanouies, pas une silhouette de mannequin anorexique, mais une silhouette de femme aux mensurations parfaites.
    
    Le contre jour dans sa robe de coton laisse deviner des fesses superbes à peine cachées par un string minimaliste. Le tissu se tend sur des seins en pommes que n’entrave aucun soutien-gorge. Cette petite salope hante mes fantasmes, et dans le court moment précédent l’endormissement, si c’est la peau de ma femme que je touche, c’est d’elle que je rêve, et mes rêves sont loin d’avoir l’innocence de l’enfance.
    
    En l’aidant a porter ses courses j’ai senti sur mon bras la pointe d’un sein libre sous le tee-shirt laissant apparaître le nombril. Lorsqu’elle s’est reculée, son regard a plongé dans le mien. Les mamelons dressés sous le tee-shirt laissaient peu d’équivoques. Je lui ai murmuré :
    
    A tout à l’heure !
    
    Elle a baissé les yeux et j’ai cru voir sa joue rosir alors ...
    ... qu’elle tournait les talons.
    
    J’ai ouvert la porte de la maison de ma coquine voisine, elle était là dans la pénombre. Je me suis avancé, nos regards se sont pris, nos bouches se sont approchées. D’abord légère, la caresse s’est prolongée, nos haleines se sont mélangées, sa langue s’est frayée un chemin entre mes lèvres. Son ventre s’est collé au mien. Je l’ai enlacée. Nos corps se sont soudés.
    
    Mes mains sont parties explorer ses formes. La courbe de la hanche, un sein palpitant, nos langues vissées l’une à l’autre, la chute de ses reins, la peau frémissante sous la caresse. Ma main est passée sous la courte jupe, et j’ai caressé ses fesses fermes. Son souffle s’est accéléré. Nous avons desserré notre étreinte juste assez pour atteindre la table du salon. Toujours enlacés, je l’ai soulevée pour l’assoir. Le petit string en dentelle est tombé à terre pendant qu’un sein parfait sortait de l’échancrure du tee-shirt. J’ai longuement embrassé le mamelon ambré, gorgé de désir.
    
    Sa main a empoigné ma chevelure et m’a guidé vers là où je souhaitais aller. Son sexe ourlé d’une toison blonde presque translucide était ouvert, luisant d’humidité, offert sous la minijupe. Son clitoris dressé appelait mes lèvres. Longuement j’ai bu le plaisir à son sexe, d’abord à petits coups légers, puis au fur et à mesure que son excitation montait, ma langue est devenue plus pointue, plus curieuse, plus nerveuse accompagnant les gémissements qui sortaient de sa bouche toujours plus fort. N’y tenant ...
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