1. Anniversaire surprise


    Datte: 28/11/2019, Catégories: fh, inconnu, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    Une enveloppe blanche, non cachetée. J’ai d’abord imaginé qu’il pouvait s’agir d’une note du syndic de copropriété. Mais il s’agissait d’une photo. Une photo en noir et blanc, prise probablement au téléobjectif. On y voyait clairement deux personnes attablées derrière la vitre d’un restaurant. Mon mari. Souriant, l’air détendu, levant une coupe de champagne. De dos sur la photo une blonde, un chignon remonté sur la tête dévoilant une nuque longue, gracile. Elle se tient droite. Elle est fine. Elle lève aussi sa coupe. Leurs visages sont proches. Qui avait bien pu m’envoyer cette photo ? Et pourquoi ? J’ai failli m’étrangler.
    
    Avec mon mari nous ne nous cachions rien. Si j’éprouvais quelque attirance pour un quidam, je lui en faisais part sans ambages. Il en était de même pour lui. Alors pourquoi me cacher ce qui semblait bien être une aventure ? Et pourquoi diable quelqu’un se croyait-il obligé de m’adresser cette photo ressemblant à s’y méprendre à une preuve ?
    
    Les jours suivants, je me suis un peu renfermée. Je n’osais pas parler de cette photo à mon mari mais la confiance sans faille que j’éprouvais jusque-là en avait pris un coup. La photo n’était pas datée et je ne reconnaissais pas l’endroit. Je lui ai bien adressé quelques questions pleines de sous-entendus, mais il avait botté adroitement en touche, me laissant sur ma faim. Et le soir venu, je le trouvais moins en demande, plus distant, plus rapide et expéditif. J’avais acquis l’impression pénible qu’il me ...
    ... faisait l’amour pour me rassurer mais que le cœur n’y était plus. Il utilisait de plus en plus nos jouets. Il est vrai que j’aime ça, ces gros engins vibrants qu’il me loge bien au fond pendant que je le suce. Mais de temps en temps. J’aime aussi qu’il me prenne lentement, qu’il me caresse, qu’il me flatte. Plusieurs fois, il ne s’est pas retenu quand je le suçais. J’aime ça qu’il me jouisse dans la bouche, mais seulement quand c’est moi qui décide. Là on aurait dit qu’il se lâchait pour ne pas avoir à me pénétrer après, et il me finissait avec un gros gode vibrant aidé de sa langue.
    
    Bref, j’avais senti un changement que j’attribuais volontiers à une aventure naissante, ou au moins à l’attirance qu’il devait éprouver pour une autre femme. Ça commençait à me ronger sévèrement mais c’était tellement hors de nos habitudes et de nos accords, que je n’arrivais pas à lui en parler.
    
    Je crois que du coup je me suis montée le bourrichon toute seule. Si lui se permettait de baiser en douce, alors moi je devais faire pareil. Mon angoisse s’était petit à petit transformée en colère, et j’étais décidée à saisir la première occasion pour le cocufier.
    
    Et je n’ai pas eu à chercher bien longtemps. Un matin j’ai eu un petit accrochage avec un tocard à une sortie de rond-point. Le beau-parleur-beau-gosse qui sait tout. Un con parfait. Il a voulu me dépasser avant le rond-point pour sortir à droite immédiatement, me faisant une queue de poisson. Il a emmené le phare avant gauche de ma mini ...
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