Prise à son propre jeu - Histoires de Sexe

Prise à son propre jeu

Je me présente, je m’appelle Kabyle. Je suis un algérien de 22 ans, sportif. Je travaille en usine depuis près d’un an maintenant en Bretagne, dans le Finistère. Célibataire depuis un moment, je me soulage en enchaînant les filles faciles, toutes aussi naïves. De la quarantenaire bien conservée du boulot à la chaudasse de 18 ans bourrée en boîte de nuit, je les démonte toutes. Et je ne vous cache pas avoir très faim !

Cet été 2016, je passe deux mois avec une saisonnière, tout les deux seuls sur la ligne, à la mise en cartons. Nous passons nos journées ensemble à moins d'un mètre l'un de l'autre. Je vous la décris en quelques mots, c'est une vraie BCBG, fille de bourges, complètement coincée, qui ne fait que m’envoyer bouler dès que je lui parle. Bon j'avoue que je passe mon temps à mater son cul, ses nichons et que j'adore la gêner en lui disant que je me masturbe tout les soirs en pensant à elle ! Cindy a 22 ans aussi, blanche, blonde à cheveux longs, une jolie poitrine et surtout un super cul, bien rebondi, magnifique ! Elle est très fine, je rêverai de la casser en deux.

Le soir, je me masturbe réellement en pensant à elle, en m’imaginant la démolir pendant des heures, par devant, par derrière… Je l’imagine hurler avec sa tête de coincée au moment où je présente mon sexe bien dur à l’entrée de son cul… Et il se trouve qu’après deux semaines à passer nos journées ensemble dans une ambiance glaciale mais néanmoins parfaites pour mater, on s’entend de mieux en mieux. ...

... On discute de plus en plus, de tout et de rien, je la complimente beaucoup, on se met même à se faire la bise le matin et le soir, je me permets d'être de plus en plus tactile sans qu'elle dise quoi que ce soit.

Au bout de six semaines, elle accepte enfin ma proposition d’aller sur le parking abandonné proche du boulot, dans ma voiture, pour discuter encore. C'est là que j'ai démonté plusieurs trentenaires et quarantenaires du boulot, j'aime m'en vanter auprès de ma nouvelle collègue en rigolant. Au début, elle ne restait que 5 minutes pour ne pas éveiller les soupçons de son copain. Puis au fil du temps, elle reste de plus en plus, parfois même une heure et invente des excuses à son copain.

Un soir, en descendant de sa voiture pour monter dans la mienne, Cindy fait tomber sa clé et je vois son string rose dépasser de son pantalon. Je le lui dis, "joli string", elle se retourne et me fait un large sourire avant de remonter son pantalon moulant. Il n’en a pas fallu davantage pour qu’elle me donne une érection, que je m’amuse à mettre bien en évidence lorsqu’elle vient s’assoir sur le siège passager.

Elle y jète des coups d’œil, je la sens complètement gênée. Cela m’excite encore plus ! J'ai désormais le bout de mon sexe qui pousse contre mon pantalon. E,orme surprise, après deux ou trois minutes à parler comme d'habitude, elle finit par poser sa main sur ma cuisse, tout près de mon engin développé au maximum… mon sexe ne demandait qu’à sortir, il était dur comme jamais ...