1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (7)


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory

    Rappel du chapitre précédent : J’ai faussé compagnie à Sarah pour quelques rencontres en trio, au Québec et à Paris. Il est temps de raconter mes premières sorties avec ma nouvelle chérie...
    
    Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.
    
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    En couple avec une libertine : à nous les clubs et le Cap d’Agde !
    
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    Notre couple s’était formé sous l’autel du libertinage, et je ne désirai rien d’autre que continuer, d’autant plus facilement que ma moitié était une belle, mince et grande femme désirable. Sans tomber dans la routine des couples pour que le samedi, c’est orgie, j’étais gourmand de sorties et de rencontres. Nous élûmes domicile dans un petit nombre de clubs de notre région où nous nous sentions à l’aise. J’aimais que Sarah danse dans les cages ou sur les podiums, en montrant le plus possible de son corps. J’ai le souvenir d’un soir où elle dansa nue et longuement en hauteur, regardée par toute l’assistance. Elle plutôt poilue au niveau de la chatte, était désormais rasée ou épilée intégralement. J’aimais sentir les regards des gens sur ma chérie, et j’étais fier d’être son mec.
    
    Les sorties en club, sur Lyon, furent relativement nombreuses et il n’est pas simple de se remémorer de toutes les séquences de sexe qui s’ensuivirent. Je me souviens de moments plus ou moins réussis - comme la fois où alors que j’étais en train d’enculer une ...
    ... blonde extatique, je vis Sarah me lancer des regards qui signifiaient « il me fait mal » en parlant du mari de la blonde qui lui pilonnait le sexe. Dans ces cas-là, timide, elle attendait que j’intervienne et je demandai alors au monsieur de se retirer. Cela mettait évidemment fin à l’échange et le plus souvent, on se « finissait » ensemble et en public. Quoi qu’il arrive dans le club, de toute façon, on refaisait l’amour à la maison, et c’était le flot de sperme dans sa chatte qui mettait le vrai point final de la soirée.
    
    Quelques séquences me marquèrent davantage dans cette période et dans les clubs de la région : alors que nous nous étions enfermés dans un coin câlin avec un couple, Sarah s’activait sur le nœud de l’homme et son amie me suçait tandis que j’était debout, face à elle. Elle me dit :
    
    « - ce que j’aime quand je suce une bite, c’est mettre mon doigt dans le cul... je peux ? »
    
    J’acquiesçai, et c’était la première fois que ça m’arrivait d’une manière aussi directe et en club. Elle enfonça tout son index dans mon trou et je la sentais fouiller le plus profond possible et masser ma prostate. C’était délicieux - et je commençais à sentir de plus en plus d’intérêt pour cette zone de mon anatomie que j’avais un peu négligé jusque-là. Je déchargeai violemment dans sa bouche, et elle alla partager le sperme avec Sarah lors d’un long baiser lesbien. Ensuite Sarah continua à pomper le dard du mari, qui ne tarda pas à éjaculer, mélangeant son foutre au mien dans la ...
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