Cocu passé : Mathis
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
Auteur: Raspoutine1968, Source: Revebebe
... assez longue… pas aussi énorme que celle de Mathis, je pense, d’après la description imagée qu’en avait fait mon épouse.
Elle s’installa à quatre pattes sur notre lit (conjugal, oui, oui, mesdames et messieurs), les fesses bien relevées pour que le petit trou soit le plus accessible, et commença à se caresser le sexe, y récupérant la mouille pour se l’étaler sur l’anus. Après quelques minutes de ce traitement, elle posa le gode sur son petit trou – mais il était bien plus ouvert que la dernière fois que je l’avais vu çui-là ! – et l’enfonça, apparemment sans aucune difficulté. Elle se l’enfonça presque jusqu’au bout ! Mais quelle garce, alors… Elle était vraiment prête à se faire sodomiser ! Ma queue était douloureuse tellement elle était tendue et à l’étroit dans mon boxer. Elle fit aller et venir le gode dans son cul pendant une dizaine de minutes, se l’enfonçant de temps à autre dans le vagin pour varier les plaisirs. Elle poussait des petits gémissements, encore et encore, puis un cri final de belle envergure.
— Alors, satisfait, mon cocu chéri ? Tu peux constater que je suis vraiment prête, non ? Je suis une bonne élève, hein ? C’est mon p’tit Mathis qui va être content !
Moi aussi j’étais content… quand même.
Le soir vint, et ma femme s’en alla. J’avais un peu le cœur gros de la laisser partir pour tout un week-end… C’était la première fois depuis notre mariage que nous ne passions pas le week-end ensemble.
21 heures, 22 heures (tiens, un vieil épisode ...
... de Buffy ! sympa…), 23 heures… 23 h 52 : le téléphone sonne. Ça me réveilla un peu, car je commençais gentiment à m’assoupir. Je décrochai vers la cinquième sonnerie ; c’est la voix d’un homme que je ne connaissais pas ; cette voix me dit juste :
— Eh, le cocu ! Je te passe ta femme, juste le temps de lui sortir ma queue de la bouche.
— … Allô, mon chéri ?
— Oui.
— J’ai failli raccrocher tellement t’étais long à répondre… T’as reçu mon MMS ?
— Euh… j’ai pas allumé mon portable. Attends, je vais le chercher…
Mais où il est, ce con ? Je l’ai laissé dans la poche de mon pantalon, ou quoi ? Ça y est, je l’ai trouvé ! Je l’allume et attends patiemment que le message arrive.
Le voilà ! Ouaaaaouuuh ! C’est le petit cul bien ouvert de ma femme, en position de levrette. Mais c’est pas vrai comment il lui a agrandi le petit trou, ce salaud de Mathis ! Un petit message d’accompagnement sous la photo :« pour toi mon chéri, ce cul que tu ne toucheras pas ce soir ».
La trique, la voilà, bien forte, bien douloureuse.
— Eh ben, c’est une belle photo, ma chérie ; je suppose que c’est Mathis qui l’a prise…
— À ton avis ?
— Et il l’a prise y a combien de temps ?
— Ben, il y a une heure, une heure et demie, je sais plus ; j’ai un peu de mal à me repérer dans le temps, là, tu vois…
— Et vous êtes où, en ce moment ?
— Dans un hôtel près de Rouen, une auberge de charme.
— Ben, il a pas une maison dans le coin, ton Mathis ?
— Si, si, mais il a trouvé ça plus excitant de ...