1. La balade en ville


    Datte: 20/03/2018, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, grosseins, fépilée, essayage, sexshop, bus, train, chantage, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe extraconj, bourge, Auteur: Capitaine must, Source: Revebebe

    ... loups affamés.
    
    — Merci, ça ira. Je le prends.
    
    Après avoir refermé le rideau je me remis en tenue et ressortis de la cabine en me dirigeant vers la caisse.
    
    — Autre chose madame ?
    — Euh ! Oui, on peut voir un film ici ? lui dis-je le plus doucement possible.
    — Oh, mais bien sûr ! Vous allez au fond à droite, vous descendez l’escalier et vous rentrez dans une cabine avec la porte ouverte. Cela veut dire qu’elle est inoccupée. Tenez, voici un jeton.
    
    Arrivée au sous-sol, je me retrouvai dans l’endroit le plus glauque où je ne m’étais jamais retrouvée. Deux cabines étaient occupées et trois étaient vides. Je rentrai dans l’une d’elles et insérai le jeton. Le sol était jonché de kleenex et la pièce empestait le sperme rance. C’était un film où une brune à gros seins se faisait sauter par deux beaux blacks. On ne peut pas dire que ce soit très difficile comme gage… si ce n’est l’endroit.
    
    Là, par contre, ce n’était plus la même chose. Coucher avec un parfait inconnu dans un endroit pareil ! C’en était trop ! Je préférai me retrouver sans un euro et célibataire que de coucher avec je ne sais quel obsédé. J’allais sortir, quand…
    
    Cette dernière phrase me rassura un peu. J’étais folle de faire confiance à un gars que je n’avais jamais vu et qui m’imposait tout ceci, mais il avait davantage réussi à m’exciter et éveiller ma curiosité en une journée qu’en toutes mes années de mariage.
    
    Comme dépourvue de volonté, je sortis de ma cabine et entrai dans la voisine où ...
    ... je découvris un jeune boutonneux avec des lunettes énormes et une dentition très négligée – que j’eus le temps de détailler de par le fait qu’il me regardait la bouche grande ouverte. Il avait pantalon et slip aux chevilles et une bite en main, de belle dimension. Fine mais assez longue.
    
    — C’est ton jour de chance, je suis le cadeau de la maison.
    — Pardon ? Vous, vous…
    — Mais oui, mon gros niais, profite.
    — Ouaah !
    
    Je défis le reste de mes boutons et sortis mes seins sur lesquels il se rua et faillit s’étouffer. Il me lécha avidement et remonta ma jupe pour me peloter les fesses. Je le repoussai, enlevai mes vêtements pour ne garder que les talons et m’agenouillai devant lui pour avaler son sexe d’un coup. Je n’avais rien à envier aux filles de l’écran. Pendant que je le suçai, il me malaxait les seins sans délicatesse, tirant de temps à autre sur les tétons qui n’arrêtaient pas de gonfler. Soudain la porte s’ouvrit pour laisser apparaître le patron du sex-shop.
    
    Le patron :Et alors, on ne s’ennuie pas ici ! Il me semblait bien que t’étais une pute sous tes faux airs de bourgeoise.
    
    Le bigleux :Eh ! Tu ne m’avais pas dit que je devrais payer !
    
    Le patron :Tu ne croyais quand même pas te faire une bombe pareille à l’œil, avec la dégaine que t’as !
    
    Moi :Mais non, c’est gratuit, je suis juste en manque de bite !
    
    Je ne me contrôlais plus.
    
    Le patron :Eh bien toi, t’es une vraie salope ! Tu reviendras quand tu veux, tu vas m’attirer des clients. Mais en ...
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