1. COLLECTION SOUMISE. À soumise, soumise et demi (1/1)


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... c’est pour les gens qui travaillent, regarde, j’ai amené ton oreiller, tu vas dormir sur le canapé, tu seras sur place pour attaquer ton travail demain matin ?
    
    À oui, je t’ai mis le réveil à six heures pour que tu me prépares mon petit-déjeuner.
    
    • Qu’est-ce que tu prends ?
    
    • Sept ans de mariage et tout ce que tu sais dire, c’est qu’est-ce qu’il te prend.
    
    Deux jours pour repeindre la cuisine, en jaune, j’aime.
    
    • Comme tes Post-it.
    
    • À cette heure, je suis fatigué moi, j’ai un métier, garde ton humour.
    
    Elle monte vers notre chambre, je prends, mon oreiller, je la rejoins dans la chambre où elle vient de se coucher en plein milieu du lit.
    
    • Tu te pousses.
    
    • D’accord, tu refuses, le canapé, je t’accorde de coucher sur la descente de lit à mes pieds.
    
    Le ton sur lequel elle me parle est sans appel, je sens en moi un sentiment de plaisir d’exécuter ses injonctions.
    
    Je me couche sans oublier de placer mon portable près de moi sur le vibreur afin de me lever à l’heure.
    
    La nuit est terrible, dormant très mal, voire pas du tout.
    
    En me levant, je suis cassé.
    
    Elle a l’habitude de se lever à sept, aujourd’hui elle a cours à neuf heures.
    
    J’ai le temps de lui préparer un déjeuner copieux, je lui prépare du thé boisson qu’elle prend le matin.
    
    À sept heures moins-le quart, je monte lui couler un bain avec les sels odorants qu’elle aime bien.
    
    Elle arrive nue, toujours bandante.
    
    Je veux l’embrasser, mais elle tourne la tête.
    
    • Tu t’es lavé ...
    ... la bouche.
    
    • Après déjeuner.
    
    • Parle-moi sur un autre ton, à partir de maintenant tu les laveras dès que tu seras debout.
    
    • Oui, d’accord.
    
    • Oui, qui.
    
    Son ton cassant me glace presque le sang, c’est la première fois que je l’entends avoir une telle intonation.
    
    • Je crois que ce soir, je vais passer acheter un martinet pour les enfants qui sont méchants et nous irons sur la pelouse, tu sais sous les fenêtres des voisins et tu recevras la trempe que tu auras méritée.
    
    Alors, oui qui ?
    
    • Comment, veux-tu que je te nomme, oui ma salope ?
    
    • Et en plus, il m’insulte, tu vas avoir double dose ce soir.
    
    Le soir, elle arrive avec un gros sac en main, elle a changé de vêtements, elle a son imper bien que la pluie soit inexistante depuis des jours, elle l’enlève, elle a une tenue en cuir noire avec des bottes à la D’Artagnan, elle sort une cravache.
    
    C’est en tenue de dominatrice qu’elle s’est affublée.
    
    • Tu m'as demandé comment me nommer, Maîtresse Véroniqua, ce sera mon nom à partir de ce jour.
    
    Elle va vers le meuble de la salle et passe un gant de velours dessus.
    
    • Travail de salope, ma petite fiente, amène ton cul que je lui montre comment ton travail doit être fait.
    
    C’est la première volée que je ramasse, mon cul me brûle toute la nuit, sa cravache est loin d’être le seul objet qu’elle ait acheté, non loin du centre de notre ville, elle me met mon collier, je deviens son toutou, j’ai voulu jouer au jeu de la soumission, j’ai perdu.
    
    J’ai ...