Ma femme, multi-orgasmique ? Oui et non...
Datte: 24/11/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
confession,
Auteur: Fredelatorsion, Source: Revebebe
... elle m’a prié de ne plus le faire. Elle préférait la régularité et me déclara veiller elle-même à faire durer les choses :
— Qu’est-ce que tu crois ? Si je me laissais aller, je jouirais bien plus vite, mais je profite de toi.
Bien ma chérie, tes désirs sont des ordres, seul ton plaisir m’importe, ton plaisir c’est mon plaisir et j’aime que tu profites de moi. Ainsi, elle aurait pu se laisser aller rapidement et recommencer, recommencer, recommencer encore… Quelle superbe mécanique ! Mais un esprit la commande et il n’est pas si fréquent que ma chérie soit partante pour un autre tour.
Je le déplore mais n’insiste jamais.
Quand elle est revenue de ses émotions elle se tourne pour que je puisse la baiser en jouissant du spectacle de ses larges hanches et de ses grosses fesses que j’adore. Elle sait comment me faire plaisir, on se connaît bien tous les deux. Toutefois si je veux la faire jouir par la pénétration, elle n’y arrivera pas comme ça. La position du missionnaire est la seule qui fonctionne vraiment, avec un angle d’attaque précis, légèrement décalé, qu’elle affectionne particulièrement, et avec le bon rythme, son rythme à elle. À l’arrivée ce sera un orgasme, pas deux, à condition qu’elle n’ait pas déjà joui avant ; il faut donc commencer par là. Ensuite elle ne veut plus rien, il ne faut pas espérer remettre le couvert, d’une façon ou d’une autre. Mêmes roulements de hanches sous moi, plus prolongés certainement, mêmes vibrations, plus longues aussi, ...
... je dirai que son plaisir passe par un autre circuit, avec une montée plus ardue. En tout cas c’est comme ça qu’en tant qu’homme, je le ressens.
C’est aussi le moment où je dois serrer les dents, car elle s’active à son profit et je souffre pour la bonne cause ; je ne voudrais jamais l’abandonner en plein milieu du gué. C’est arrivé parfois, je l’avoue. Je ne suis qu’un homme. Elle ramasse son excitation en miettes, son plaisir défunt, je ne suis pas fier, mais la voilà qui me sourit et me fait un bisou :
— Pas grave, on s’en fout.
Étrangement, elle ne veut pas de compensation et refuse ma bouche.
Il nous est arrivé dans le passé de jouer de ses facultés pluri-orgasmiques. Ça se passait toujours de la même façon. Jusqu’à six orgasmes par ma bouche, avant qu’elle m’abandonne son corps pour que je la baise dans la position qui me convenait le mieux, à mon rythme. Elle aurait manifestement pu aller plus loin, elle ne le désirait pas et refusait. Pourquoi ? Je ne sais pas au juste, mais c’était une espèce d’angoisse, voire de peur. J’ai deux souvenirs particuliers qui illustrent cette peur et qui montrent, comme je le disais au début, que souvent les femmes refusent de savoir jusqu’à quelles extrémités le plaisir pourrait les entraîner.
Un jour, il y a longtemps, après peut-être quatre ou cinq orgasmes procurés de la manière décrite plus haut, il me vient une idée, histoire de varier le menu. Je prends ses jambes et les replie sur son visage, pour avoir son sexe ...