1. Dressé par nièce 3


    Datte: 24/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: Neron-O, Source: xHamster

    ... demande poliment avec les formules d’usage d’un esclave le droit d'utiliser les WC en sentant que ça vient.
    
    Elle rit et me fait rappeler qu’on a acheté hier une litière et des granulés. Elle ne va quand même pas m’obliger à ......... et bien si j’en ai peur.
    
    Je me sèche et sors honteux de la baignoire, me plaçant au-dessus de la litière. Elle me fait lever le cul et prend l’appareil photo.
    
    - C’est pour mon album souvenir et te rappeler que tu m’appartient, au ou cas au tu veilles te rebeller et parler à mes parents.
    
    Surement pas, j’aime trop ça, bien que la, c’est pas vraiment mon fantasme... mon anus se relâche, je sens ma déjection s’écouler dans le gravier du bac.. J’atteins les sommets de l’humiliation. Elle me gratifie de gros porc, m’insultant et prêtent que ma merde pue... évidemment, ça ne sent pas la rose. J’entends l’appareil photos prendre encore et encore des clichés... j’urine à présent, pissant sur mon cadenas, trop tard pour m’empêcher, d’autre photos, je suis partagé entre une étrange soumission et ces actes qui me pétrifie de honte. Curieusement ses insultes m’excitent. Je prends goût à être son jouet, son gros à petite bite. Et par la même occasion, je commence à m’accepter tel que je suis.
    
    Le ménage avance bien, je crois que j’en ai jamais autant fait, moi qui suis plutôt à me laisser aller et à agir quand l’évier est plein ou quand la panière à linge déborde. Non, là c’est le contraire, je trotte dans la maison, agitant mon gros ventre ...
    ... et ma petite queue lestée. Ma nièce m’appelle, je pose le linge et viens me présenter à ses pieds, je commence à aimer mon rôle, je les lui lèche, petit et délicat, légèrement odorant dans ses petits escarpins à lacet, un modèle qu’elle me laisse choisir afin accroitre mon excitation a ses pieds.
    
    Ma langue caresse ses orteils, mon cul se relève entrainé par la rondeur de mon ventre qui me fait agir tel un cheval à bascule. Sa main douce se glisse entre mes cuisses, agrippant mes couilles qu’elle tire vers l’arrière en empoignant la base de celles-ci. Je la laisse faire, aveugle de ses actes, haletant. Elle tire encore, ma peau élastique donne assez de moue pour que mes bourses se retrouve tangent au plie de mes fesses. Elle se saisie de deux baguettes chinoises, en place un dessous et une dessus et les attaches entre elles. Voilà mes couilles capturées par un sandwich de baguette, tendu vers l’arrière, j’exprime une légère grimace, tant par la gêne que par la douleur supportable. Ce qui est humiliant pour moi, c’est qu’ainsi étiré, mon pubis gras enveloppe tout mon sexe, le noyant en moi, le cadenas lui-même semble remonté par le trou que forme mon bas ventre.
    
    Cela la fait rire, j’ai droit à de nouvelles insultes.
    
    Pauvre sous homme, je peux même plus te branler ou te traire, regarde ça, ton zizi de bébé a disparu, moi qui voulait jouer avec, quel dommage.
    
    Je rage de frustration au plaisir de ses doigts sur ma queue que je manque.
    
    Bon, laisse-moi finir de te ...