Les cousines (4) - Histoires de Sexe

Les cousines (4)

... doigts aient un accès aisé à son vagin.

Je commence à la pomper, ma bouche aspirant toujours ses seins. Elle miaule de plaisir et me caresse le dos avec ses mains. Elle a sorti ses ongles et le grattement le long de ma colonne vertébrale me donne des frissons. Manifestement, cette fille n’a jamais baisé avec un homme, mais pour le reste, elle sait y faire!

Ca me rappelle pourquoi elle est là. D’ailleurs, si je ne l’embroche pas dans les minutes qui viennent, je vais éjaculer tout seul! Mais avant d’arriver à l’apothéose, je veux goûter à son corps au sens propre. Je descends donc ma tête vers son pubis et ma bouche atteint l’entrée de son fourreau. Elle mouille abondamment et je recueille tout son jus avec délectation. Elle est légèrement salée et douce à la fois.

Trop occupé à ce délicieux léchage que je lui procure, je me rends compte trop tard qu’elle arrive. Et elle arrive avec la vitesse et la puissance d’un TGV. Elle m’inonde la bouche de cyprine, elle pousse violemment son bassin vers le haut à chaque onde de plaisir et maintient ma langue sur son sexe en appuyant vigoureusement des deux mains sur ma tête. Evidemment, elle a l’habitude de jouir ainsi quand elle baise avec une fille!

En attendant, je suis un peu perplexe. J’espère que je n’ai pas loupé ma chance de la soirée en la faisant jouir trop vite. Mais elle me rassure très vite:

"- Ne t’inquiète pas mon amour, je suis capable de jouir de nombreuses fois en une soirée, tu auras bien l’occasion ...

... d’arriver à tes fins... à nos fins."

Voilà qu’elle m’appelle "mon amour". Cela dit tout sur son envie d’être mienne.

Tout à coup, je sens sa main qui attrape mon membre tendu et commence à me masturber avec beaucoup de dextérité. C’est totalement inattendu chez une homo mais c’est délicieux pour moi! Evidemment, elle nous a observés et a donc appris comment faire. Je déguste donc cette douce sensation sans me rendre compte qu’elle accélère progressivement son mouvement. Elle me trait maintenant avec vigueur et, quand je réalise, il est trop tard. Surexcité depuis un bon moment, je sens le plaisir monter irrésistiblement de mes reins. Dans une dernière tentative pour lui échapper, je me redresse ce qui a pour effet de m’achever. J’éjacule à grands jets brûlants sur sa sublime poitrine. Mon sperme se répand sur ses globes, ses tétons durcis et jusque sur son visage. Et ça n’arrête pas de gicler. Je me vide complètement sur elle avec à la fois une jouissance totale et, aussi, un sentiment de frustration: je crains pour la deuxième fois en quelques minutes d’avoir raté la montre en or.

Je n’ai pas le temps de réfléchir à cette question que je vois Isa, qui a lâché Nat, se coucher de l’autre côté d’Aline et je comprends tout de suite. Elle n’a pas encore eu l’occasion de profiter du corps magnifique de la jeune fille et comme, en plus, elle adore la saveur de mon sperme, elle se met à lécher avidement les seins et le visage d’Aline. Elle goûte ainsi en même temps le corps de ...