1. Alicia et son papa (6)


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Pleurnichant de honte, atterrée d’être tombée si bas en quelques jours, je m’appliquai, faisant de mon mieux pour contenter mon patron. Mais l’épaisseur de sa bite rendait difficile la fellation ; chaque fois que j’avançais trop, mon ventre se révoltait et menaçait de se retourner. Bien sûr monsieur Rodriguez n’en avait cure, il m’insultait copieusement pour mon incompétence. Lassé, il empoigna ma chevelure et me tira à lui. Je ne pus rien faire et me retrouvai le nez plongé dans son abondante toison pubienne. Affolée, incapable de respirer alors que le contenu de mon estomac remontait dangereusement, je protestai comme je pouvais, me tordant et suppliant mon suborneur du regard.
    
    — Attention, me prévint-il d’une voix sèche, si je sens tes dents encore une fois, je te les casse à coups de poing. Je vais te laisser respirer, puis on y revient.
    
    Curieusement, son avertissement calma mon angoisse. Libérée, je respirais à pleins poumons, crachant des flots de salive sur mes cuisses. Mon patron ne dit rien, guettant ma réaction ; dès que je fus calmée, je me redressai et ouvris grand la bouche pour montrer ma bonne volonté. Après plusieurs minutes d’éprouvante fellation, je reçus de longues rasades d’un sperme liquide et iodé que j’essayai vainement d’avaler.
    
    — Imbécile, tu ne dois pas gâcher ma semence ! Lèche bien tout ce qui est tombé, tu entends !
    
    Je finissais de nettoyer, léchant les gouttes de sperme sur le sol, quand la porte s’ouvrit. Je reconnus les arrivants, ...
    ... c’était les deux vigiles préférés du patron. Babacar, un Noir gigantesque, adepte de musculation et de bagarres, et Hamid, un Maghrébin brutal, à peine moins imposant que son compère, mais plus dangereux encore. Je pressentis que mes tourments étaient loin d’être finis. Sans me laisser le temps de dire ouf, je me retrouvai les poignets liés dans le dos par une attache rapide. J’essayai de protester, mais Hamid prit ma petite culotte sur la chaise où je l’avais posée et me l’enfonça méthodiquement dans la bouche. En la bourrant bien dans chaque joue pour éviter de m’étouffer trop. Je devais ressembler à un hamster, mais je ne risquais pas de me plaindre maintenant.
    
    En même temps, je n’ai pas le choix. Papa me punira s’il apprend que je n’ai pas été obéissante. Et puis je sais bien qu’ils ne me feront pas mal, pas trop du moins. Alors, ce n’est pas la peine de tenter de leur échapper. D’une part je n’ai aucun chance d’y arriver, surtout nue et attachée ; d’autre part, si c’est pour me faire punir à mon retour à la maison, autant rester zen et endurer sans trop résister.
    
    Ouais, rester zen ! Hamid a saisi un rouleau de large scotch industriel et l’a utilisé pour coller une bande sur mes lèvres et autour de ma tête, ce qui m’empêchait de recracher mon bâillon improvisé. Ensuite ils m’ont poussée hors du bureau, dans le couloir sombre et heureusement désert, puis dans une réserve de fournitures. Appuyée contre un mur, les jambes flageolantes, je les ai regardés se déshabiller ...
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