1. Toutes les femmes s'appellent Marie fin : La nouvelle vie de Marie Noëlle


    Datte: 23/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... l’opportunité de créer un établissement similaire aux Antilles. Martha et eux on pensé naturellement que Marie était la mieux placée pour devenir la gérante du Freedom biarrot. Je dis biarrot car l’établissement de Saint Martin portera le même nom.
    
    La plus difficile à convaincre aura été Marie. J’ai même été sollicité par Martha pour argumenter. Elle voulait se retirer et a vendu le club au couple sous couvert d’héritage. Elle a vendu son immeuble à Marie en viager. Argument ultime, comme elle doit donner la recette du cocktail à ses neveux pour le club antillais, elle la donne aussi à Marie ! C’est vraiment la preuve de confiance car nous savons très bien que le succès du club est en grande partie dû à ce fameux cocktail.
    
    Bref, en moins de deux ans, Marie est passée du statut précaire d’une femme abandonnée obligée d’effectuer un travail ingrat et mal payé, à celui de gérante d’un club renommé, bien payée et amoureuse de son homme qui en plus la satisfait sexuellement.
    
    Marie me dit toujours que c’est grâce à moi et qu’elle gardera toujours une place pour moi « dans son cœur et dans son cul » Nous avons d’ailleurs fait quelques trios avec Gilles et elle. J’ai pu goûter et apprécier son sexe fabuleux, parfois sous le regard de Martha « jalouse » de ne pouvoir le recevoir si pleinement.
    
    La prise de fonction de Marie approchait Max et Claudie étaient déjà partis et le chantier se terminait. Martha avait lancé les invitations pour l’inauguration du nouveau « ...
    ... Freedom ». J’ai proposé de venir, accompagné d’une amie et d’un couple libertin qui voulaient découvrir le lieu. Les deux femmes ont bien sûr accepté venant de moi, curieuses aussi de connaître cette amie.
    
    En fait, Marie (Françoise) et le couple d’enseignants palois, Jean et Marie, n’étaient pas au courant. Plusieurs fois Marie m’avait interrogé sur ma liaison avec cette autre femme. Depuis que l’autre Marie avait quitté Sauveterre, je lui avais dis que je ne la voyais plus. L’itinéraire de la nouvelle gérante du Freedom lui était inconnu, comme mes rapports avec Martha. J’avais néanmoins envie de lui faire connaître cette ambiance et par là même ce volet caché de ma vie. J’avais envie aussi de leur faire découvrir cette ambiance de club libertin, différente de celle des saunas.
    
    Je leur présentais la chose un soir où nous étions tous les quatre à batifoler chez nos amis. Nous faisons une pause dans nos jeux lorsque j’orientais la discussion vers les clubs. Aucun n’était « chaud » car ces établissements ont mauvaise réputation et ils avaient surtout peur d’y être reconnus.
    
    «Je connais un club à Biarritz. On pourrait l’essayer ? On pars un samedi dans la journée, le soir on dort là-bas et on a le dimanche pour récupérer.
    
    Ah bon ? Tu connais ça toi ? » Interroge Marie.
    
    « Tu sais bien que tu ne connais pas tout de moi !
    
    C’est vrai. Mais tu ne crois pas que…
    
    Ecoutez. Vous allez au sauna pour coquiner. Je vous assure que la clientèle de ce club est beaucoup plus ...
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