1. Toutes les femmes s'appellent Marie fin : La nouvelle vie de Marie Noëlle


    Datte: 23/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... voit rien. Claudie, qui le connaît, saisi le sceptre, en profite pour le prendre en bouche un moment, puis pointe le bout menaçant sur la chatte de Marie. Le silence s’est fait dans la salle. Max a même arrêté la musique. Tout le monde attend la réaction de Marie.
    
    Peu à peu le redoutable membre, s’enfonce dans les chairs onctueuses. Les trois quart de la bite ont maintenant disparu. C’est alors que Martha s’approche de moi et m’agrippe par la manche.
    
    - « Moi je ne peux en accepter plus. Au delà c’est douloureux. Ce sont mes limites physiques. Je suis sûr que ta chérie va se régaler ! Mais dis-donc ! J’ai l’impression que ça te plaît ! » Martha a posé la petite main sur le devant de mon pantalon et y trouve une bosse intéressante. Aussitôt, elle s’attaque à la fermeture et sans mal, parvient à baiser mes vêtements. Elle se met face à moi et pendant que je contemple le spectacle, me taille une pipe monumentale.
    
    Sur la scène, Marie se rend compte que ce sexe qui la pénètre n’est pas très habituel. Elle tente de relever sa tête, mais Claudie, la lui maintient sur sa chatte dégoulinante. Elle-même s’abreuve du jus intime qui coule de la fente taraudée par le pal énorme.
    
    Gilles, de temps en temps, se retire complètement du fourreau, ce qui permet de voir l’extraordinaire organe rendu luisant et plus menaçant encore. Marie exprime alors sa désapprobation de se voir privée de ce « jouet » qu’elle apprécie. Quand il replonge d’un coup au fond de sa matrice, c’est un autre ...
    ... soupir, de plaisir cette fois qu’elle pousse.
    
    Face à ce spectacle, la salle est en transe et beaucoup de groupes se sont formés. Martha, qui n’a pas arrêté, reçoit mon sperme dans sa bouche. Je n’ai pas pris garde à la montée de ma sève, pris par le spectacle. J’éjacule alors en criant, ce qui ne dérange personne autour de moi. Martha reprend aussitôt son ouvrage sur ma bite qu’elle compte bien utiliser à son compte. Marie ne se retient plus elle ne s’occupe plus de la chatte de Claudie qu’avec ses doigts car elle est à la recherche d’air. Elle jouit en continue alors que l’épée la transperce toujours en cadence.
    
    Enfin, « Sword » jouit à son tour et permet à sa partenaire de retrouver son calme petit à petit. Son calme est un bien grand mot, car elle est littéralement écroulée sur Claudie, qui se console en léchant goulûment la bite de Gilles couverte de mouille et de sperme.
    
    La salle applaudit alors. Gilles se relève et galant aide les deux femmes à faire de même. Marie a les jambes qui flageolent un peu. Max a rallumé la salle et remis de la musique. Marie se dirige vers moi, me prend dans ses bras et m’embrasse.
    
    « Mon dieu c’est fou ! Je n’ai jamais rien senti comme ça ! J’ai honte !
    
    Tu ne dois pas ! Tu étais très belle ! Et ça ne m’étonne pas ! On peut dire qu’il a dû atteindre des zones inexplorées !
    
    Mais … comment ?
    
    Tu n’as pas vu son sexe ? il est très long, très fin ! C’est pour ça que Martha l’appelle « Sword » Tu as été comme transpercée par une ...
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