1. La prochaine fois


    Datte: 23/11/2019, Catégories: fh, fépilée, parking, hotel, fsoumise, hdomine, noculotte, intermast, entreseins, facial, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Brunette, Source: Revebebe

    ... surprise de se sentir ainsi prise.
    
    — Je t’avais dit que tu ne le regretterais pas… lui murmura-t-il dans un sourire.
    
    Il avait très envie de la prendre brutalement, mais il savait qu’elle avait besoin de douceur pour l’instant. Chaque chose en son temps… Il continua sa caresse, bougeant très lentement dans son anus et son vagin, la regardant frémir, découvrir de nouvelles sensations.
    
    — Je ne me suis jamais sentie aussi pleine… c’est bon… lui dit-elle avant de l’embrasser langoureusement, ayant envie de sentir leurs langues se caresser, de le sentir dans tous ses orifices.
    
    Il accentua ses mouvements à la fois dans son anus et dans son vagin et elle gémit doucement, encore très sensible. Elle avait l’impression d’être au bord de l’orgasme en permanence avec lui et elle adorait cette sensation. Il posa simplement son pouce sur son clitoris, bougeant doucement les doigts qui étaient en elle et pénétrant plus profondément son anus. Émilie se laissa faire, elle sentait un doux orgasme arriver. Elle gémit lentement, il la sentit se contracter et jouir intensément. Elle le remercia d’un baiser.
    
    — Merci… encore ! Mais moi aussi j’ai envie de te sentir venir.
    — Il va me falloir un peu plus d’action, tu le sais… lui repondit-il en souriant, son sexe dur palpitant dans l’anus de la jeune femme.
    — Je suis ta salope… comment tu me veux ?
    
    Il la fit se relever, la plaça debout face au mur, les jambes écartées, le dos bien cambré, et pénétra son anus d’un coup sec. Elle ...
    ... gémit et tendit son cul vers lui pour l’encourager. Elle avait très envie de le sentir perdre le contrôle à son tour.
    
    — Tu me rends fou quand tu es salope comme ça… j’ai envie de te défoncer…
    — Mon cul est tout à toi… baise-moi.
    
    Ses coups de reins étaient secs et violents, comme s’il évacuait toute sa retenue des moments précédents. Il grognait derrière elle et elle se sentait désirée comme jamais. Il lui attrapa les seins et les malaxa, s’accrochant à la poitrine offerte. Il colla son corps contre le dos d’Émilie.
    
    — T’es à moi, t’es à moi, ma salope, ma chienne… lui murmura-t-il à l’oreille.
    — Oui…
    — Cambre-toi plus, t’aimes ça que je te baise, hein…
    — Oui…
    
    Elle obéit, recula un peu, le haut de son corps collé au mur. Il avait un accès total à son cul et ne se priva pas d’en profiter, lui donnant d’amples coups de reins. Ils étaient en sueur, leurs corps claquaient l’un contre l’autre. Il commença à grogner, à murmurer son prénom, comme s’il voulait graver cet instant dans sa mémoire, et il jouit dans le cul qu’il aimait tant. Il resta longtemps en elle, sur elle, appuyé comme il le pouvait, jusqu’à ce que leurs jambes ne les portent plus. Ils s’allongèrent sur le lit, reprenant leur souffle, la main d’Amar posée sur le sein d’Émilie, encore rougi par leurs étreintes.
    
    Ils restèrent un moment comme ça, nus, tranquilles, puis l’heure fut venue de repartir. Elle le déposa à la gare avec un chaste baiser sur la bouche, et il repartit, des souvenirs plein la tête. ...
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