La surprenante Emy (3)
Datte: 23/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... essayer ? m’a-t-il répondu en me regardant droit dans les yeux, une étincelle dans le regard.
Je l’ai observé un instant, mes lèvres à quelques centimètres à peine des siennes.
— Non Max, on ne peut pas.
— Pourquoi ?
— Je suis ta sœur.
— Et alors ? Regarde ce qu’on est en train de faire ! T’es vraiment trop bonne Emy, j’te jure j’en peux plus... Laisse-moi te baiser, s’il te plaît...
J’ai hoché la tête de gauche à droite, tout en accélérant mes mouvements contre sa queue.
Je suis vraiment perverse, je sais.
— Emy, je t’en supplie... a-t-il gémi en contenant difficilement ses halètements de plaisir.
— Non, on ne peut pas, ai-je insisté en posant mes lèvres quasiment contre les siennes. Je suis ta sœur.
— Je m’en fous : t’es juste la fille la mieux roulée que j’ai jamais vue. Quoiqu’il arrive, je ne te verrais plus jamais comme ma sœur, mais juste comme la femme qui me rend dingue et avec laquelle je veux absolument coucher.
— C’est non, ai-je tranché d’une voix plus ferme.
J’ai vu la tristesse dans ses yeux quand il a compris qu’il n’obtiendrait pas plus. Alors je l’ai embrassé, passionnément. Nous nous sommes roulé une pelle magistrale pendant quelques secondes, puis je me suis empalée d’un coup sur sa queue.
Sous le coup du plaisir et de la surprise, il est resté un moment la bouche ouverte à m’observer, ...
... les yeux roulants de plaisir.
— Emy...
— Ta gueule et baise-moi ! ai-je répondu en souriant, puis en l’embrassant de nouveau.
Il ne s’est pas fait prier : il m’a baisée comme jamais je ne l’avais été, comme j’avais rêvé qu’il le fasse. Pourtant ce ne fut pas très long : nous étions si excités par la situation et par notre petit jeu qu’il n’a pas tardé à jouir en moi en hurlant mon nom.
Fascinée par son orgasme, plus excitée que je ne l’avais jamais été, j’ai joui à mon tour en hurlant plus fort encore que lui.
Lorsque nous nous sommes un peu calmés, je me suis affalée contre lui en le serrant bien fort dans mes bras.
— Tu crois qu’on a fait quelque chose de mal ? m’a-t-il demandé d’une petite voix.
— Sûrement, et c’était trop bon !
— Mais tu crois qu’on pourra... recommencer ?
Sa voix trahissait à la fois l’espoir et la crainte.
— Tu plaisantes ? répondis-je.
Il s’est renfrogné, pensant sans doute que j’étais gagnée par les remords.
— Oui t’as raison, il vaut peut-être mieux pas.
Il avait l’air anéanti.
— Tu plaisantes ? ai-je répété. Je compte sur toi pour me baiser à chaque fois que ce sera possible : les soirs, les week-ends, les repas de famille... à mon mariage, je compte sur toi pour me baiser dans les chiottes juste avant le marié !
Il m’a souri.
— T’es vraiment une chouette petite sœur !