1. Les déboires d'Eddy


    Datte: 22/11/2019, Catégories: fh, cérébral, Transexuels Masturbation hsodo, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... voilà qu’elle recommençait son commentaire sportif.
    
    — Tu me la mets bien ! Elle est raide celle-là ! Attends ! Il leur fait quoi à mes seins ! Il va finir par les crever à force d’y planter ses ongles ! C’est pas des ballons de baudruches ! Putain, s’il continue comme ça, il va me remonter l’utérus dans les ovaires ! Pas possible, c’est un vrai marteau pilon que t’as.
    
    Et ça continuait sur les mêmes thèmes et le même ton. Eddy n’y accordait guère d’importance, trop préoccupé à garder le rythme. Il avait peur d’avoir présumé de ses forces. Il fallait qu’il y arrive. Surtout que la garce ponctuait son discours de balancements du bassin très efficients. Sa queue, gonflée à bloc, tressautait de manière inquiétante. Il n’allait pas tarder de gicler. Elle allait rester en plan. Pas lui. Pas Eddy.
    
    Alors qu’il commençait à craindre le pire, un remous annonciateur de jouissance agita les hanches de la mamie. Et son discours s’émietta, incohérent, en mots et onomatopées.
    
    — Ouhhh… my god… arghhhh… Witchhhhhhhhhh… la petite bête qui monte… Si, si, si… Do, ré mi, fa, sol… putain plus vite… outchhhhhhhhhhhhhhchhhchhc. Ça y est, cette fois je le sens…
    
    Ouf ! Elle partait. Eddy se lança avec fougue dans la dernière ligne droite. Oubliant son état, il se donna à fond. Allez, jouis ma vieille. Soudain, il ne vit que des étoiles. Il lâchait sa semence à grands jets brûlants… Elle cria :
    
    — Putain, je jouis… T’es trop bon…
    
    Il s’écroula sur elle, éteint. Avec une douceur qui ...
    ... contrastait avec la brutalité de ses débordements verbaux précédents, elle le remit sur le dos.
    
    — Pas mal pour une première manche.
    
    Sa bouche couvrit le torse velu de baisers. De la poitrine où elle s’attarda longuement sur chacun des minuscules tétons, elle rejoignit l’abdomen. Elle lécha avec application le nombril creusé. Le photographe, dans un état second, goûtait en toute décontraction à ces mignardises buccales. Quand les lèvres se posèrent sur la queue ramollie, les mains entrèrent en action. L’une roula les couilles entre ses doigts, l’autre s’insinua dans la raie culière, le majeur titillant la rosette.
    
    Puis elle goba la queue et, littéralement, se mit à la sucer. L’image de cette bouche féminine en train de nettoyer sa bite pleine de foutre et cyprine mêlés aurait dû exciter Eddy. Mais s’il appréciait, son sexe restait inerte et le désir pointait au japonais absent. Lulu ne mit pas longtemps à s’en rendre compte.
    
    — Monsieur n’avait qu’une balle dans le chargeur, dit elle en se relevant.
    — On en reparlera demain si tu veux bien, lui répliqua-t-il plutôt vexé.
    — Fais pas cette tête ! Pour un mec qui ne tenait pas debout hier, tu ne t’en es pas mal… tu m’as même pas trop mal tiré.
    
    Elle éclata de rire et poursuivit :
    
    — Ça vaut bien une petite coupe.
    
    Elle disparut et revint quelques secondes plus tard avec deux flûtes à la main. Elle lui en tendit une. Ils trinquèrent :
    
    — À des jours qui seront encore meilleurs.
    
    Il but sa coupe tout en pensant ...
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