Etudiants étrangers
Datte: 20/03/2018,
Catégories:
fh,
copains,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Pansa, Source: Revebebe
... l’air, piano, et ma cantatrice répondit en écho. Heureuse d’avoir trouvé un instrument la faisant chanter, elle m’incita à passer au mezzo forte. Je m’activai en elle et chaque coup de boutoir était marqué d’un bruit de cymbale quand mon bassin venait culbuter ses fesses. La vitesse et l’intensité augmentant les frottements, Maria gémit de plus belle ce qui m’incita à vouloir encore aller plus loin dans le registre.
— Damn, it’s sooo good. Hannnnn ! Please in the arse !! Vite. Je veux que tu m’encules.
Je réservai donc le forte pour son cul. Je ressortis lentement de sa chatte. Le préservatif était recouvert de ses sécrétions, néanmoins je saisis le tube de gel pour préparer à nouveau son anus. Un, deux, deux doigts, Maria s’assouplissait à mesure que je la travaillais. Elle était prête. Mon gland venait sonner à la porte entrebâillée. Le gel facilita grandement cette longue introduction. J’entrecoupai la pénétration de petits allers-retours pour aider Maria à s’habituer à cette présence nouvelle. Je ne me rappelais pas avoir connu un fourreau aussi serré. Malgré toute mon attention, Maria en grognait de ce qui devait être un mélange de plaisir et de douleur. J’avais encore en tête ce que j’avais éprouvé lorsque Maria m’avait doigté et décidai de la pénétrer d’un coup pour passer ce cap difficile une bonne fois pour toute. Je fis donc glisser mon sexe très lentement en elle. Chaque millimètre gagné faisait l’objet d’une lutte, et chaque concession faite par Maria ...
... amplifiait ses gémissements.
Après quelques instants, mon gland arriva dans une cavité plus large, il n’y avait pratiquement plus que la hampe a été comprimée. Je m’arrêtai et laissai à ma compagne le temps de retrouver son souffle. Nous étions véritablement connectés, nous percevions chaque contraction de l’un ou de l’autre, de mon sexe ou de ses fesses. Quand la respiration de Maria devint plus posée, je pris le parti de recommencer à bouger, bien décidé cette fois-ci à l’amener jusqu’au bout. Nous rejouions toute la gamme à nouveau : pianissimo, piano, allegro, mezzo forte et enfin forte. Mes mouvements se faisaient de plus en plus amples, brusques et rapprochés et les réponses de Maria de plus en plus fortes. Nous étions totalement coupés de notre environnement, il n’y avait plus que nous deux. Nous vibrions et rugissions notre bonheur jusqu’à nous envoler tous deux définitivement. Je déchargeai pour la deuxième fois de la soirée quand Maria atteignit l’orgasme. Quel pied, je perdis momentanément tout contrôle… nous ralentissions, redescendions petit à petit parmi les humains, notre attention revenait peu à peu à des choses simples (où nous étions ? avions-nous fait beaucoup de bruit ?). Mon excitation s’évanouissant, je me retirai et me débarrassai du préservatif. Maria se redressa, nous étions tous les deux en sueur. Instinctivement je la saisis dans mes bras. Elle se dégagea doucement :
— Souviens-toi, belle queue, pas de sentiments !
Puis alors que nous étions ...