1. Début et fin d'une belle aventure


    Datte: 22/11/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, fépilée, caférestau, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourcach, nature, Auteur: Loupastor, Source: Revebebe

    À la fin de l’été 2000, suite à une séparation conflictuelle, une de nos amies dut déménager rapidement. Son employeur lui proposa une mutation dans un établissement distant de 200 km, à seulement 20 km de chez nous ; dans l’urgence, nous l’avons hébergée quelque temps.
    
    Avoir à la maison une jolie femme de quarante-cinq printemps, de douze ans ma cadette, ne me laissait pas indifférent ! J’ai vite compris que de son côté, s’il n’y avait pas eu une grande amitié avec mon épouse, elle aurait bien tenté une approche.
    
    Elle trouva assez vite un logement près de son lieu de travail, et c’est tout naturellement que (disposant d’un grand fourgon) je lui proposai de participer à son déménagement. Celui-ci terminé, je me suis occupé, en bon copain, de remonter et installer ses meubles. En fin d’après-midi, alors que dans sa chambre je viens de remettre en place avec son aide l’armoire et le lit, Caro me dit :
    
    — Bel endroit, mais je vais me retrouver bien seule ici ; dommage que Béa t’attende ce soir…
    — Tu n’y penses pas ? Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’ai transpiré et avalé pas mal de poussière ; il va falloir que je rentre me mettre propre.
    — C’est vrai que tu dois avoir soif ; viens à la cuisine, je te sers à boire. Et comme je ne veux pas que tu repartes dans cet état, je te sors du linge à la salle de bain : tu pourras y prendre une douche avant de t’en aller.
    
    Je bois mon verre, et pas trop pressé de partir, me rends à la salle d’eau. Là, surprise : je ...
    ... trouve Caro magnifiquement nue me présentant deux petits seins haut placés avec des mamelons de la taille de framboises un entrecuisse complètement glabre, des grandes lèvres sombres et ourlées. Devant ma surprise, elle se justifie :
    
    — Tu as raison ; moi aussi je suis poussiéreuse : ça me fera le plus grand bien de me faire savonner.
    
    Je n’ai plus qu’à m’exécuter ; et avec l’entrain que j’y mets, son minou, ses fesses et ses petits nichons doivent briller ! Il en est de même pour ma trique et mes valseuses. J’entreprends de goûter ses framboises et, bien sûr, pour continuer l’action nous devons inaugurer la chambre où je déguste de merveilleux fruits de chair. Après plusieurs jouissances de part et d’autre, je rentre chez moi fatigué et fort tard.
    
    Quelques jours après, nous déjeunons ensemble. Elle est trop contente de ma visite précédente : en une soirée, j’ai effacé quatre mois d’abstinence. Elle a besoin de continuer cette relation, mais ne veut pas perdre son amie Béa. Nous décidons qu’elle fera appel à moi si elle en a besoin jusqu’à ce qu’elle se retrouve un ami ou amant ; bien sûr, nous nous interdisons tout sentiment amoureux.
    
    Pendant quelques mois, nous profitons de ce pacte combinant la découverte de la région à des plaisirs sexuels renouvelés à chaque occasion.
    
    Ce jour-là, nous avons pu exceptionnellement programmer une journée complète ensemble. Je passe prendre Caro chez elle dans la matinée. Elle est vêtue d’une robe très correcte boutonnée devant sur ...
«123»