Nadia
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
fh,
gros(ses),
grosseins,
boitenuit,
Oral
init,
prememois,
Auteur: Homme romantique, Source: Revebebe
... genre de logements que tant de jeunes connaissent lors de leurs études.
— Excuse-moi, mon appart n’est pas luxueux, il a fallu que j’économise beaucoup toutes ces dernières années pour m’établir à Tokyo, dit Nadia avec un sourire gêné.
— Mais c’est parfait, répondit Grégoire, et j’aimerais même que ton appart soit encore beaucoup plus petit pour que nous ne puissions pas faire autrement que de rester collés l’un contre l’autre.
Nadia éclata de rire, elle était à présent parfaitement détendue et heureuse comme elle l’avait rarement été. Se pendant au cou de Grégoire, légèrement plus grand qu’elle, elle inclina son visage aux traits fins pour qu’il puisse l’admirer à sa guise.
La prenant dans ses bras, Grégoire embrassa Nadia dans le cou et la jeune femme ressentit une vague de plaisir qui traversa tout son corps. Le jeune homme respirait le doux parfum dont sa partenaire s’était aspergée et faisait tout son possible pour qu’elle se sente bien. Les mains de Nadia caressaient le haut du corps de son amant et elle soupirait d’aise. Ses expériences sexuelles étaient réduites au minimum et jamais, même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait imaginé faire l’amour avec un si beau jeune homme.
Les bouches se cherchèrent dans la semi-pénombre, mais se trouvèrent rapidement et le baiser fut long et langoureux. Les lèvres se caressèrent d’abord, chacun des partenaires profitant du goût de celles de l’autre puis les langues se frôlèrent avant de se mêler dans un échange ...
... de salive d’un érotisme torride. Le baiser dura longtemps, sans doute plusieurs minutes, jusqu’à ce que, à bout de souffle, mais ravis, les deux nouveaux amants se séparent enfin.
Grégoire et Nadia se déshabillèrent alors. Les corps étaient très différents puisque Grégoire avait un corps sec et tonique alors que Nadia était plantureuse. Faisant des complexes vis-à-vis de ses kilos en trop, elle essayait de rester dans la pénombre, mais Grégoire, qui voulait l’admirer, fit tout pour l’attirer en pleine lumière.
— Non, dit brusquement Nadia, je suis désolée, je ne peux pas !
— Pourquoi ? Je ne te plais plus ? demanda Grégoire.
— Au contraire, tu me plais de plus en plus, tu ressembles à l’homme de mes rêves, mais je ne suis sûrement pas la femme des tiens.
— Arrête de faire des complexes, lui dit doucement Grégoire, tu sais que tu me plais, je te l’ai dit plusieurs fois et je suis prêt à le répéter autant de fois que nécessaire pour que tu sois rassurée.
— T’es gentil, dit Nadia avec un petit sourire. Tu es même un garçon formidable et tu t’es montré très doux et attentionné durant ces dernières minutes. Mais cela ne suffit pas pour effacer dix ans de complexes qui me poursuivent depuis l’adolescence. C’est pourquoi je préfère qu’il ne se passe rien ce soir et que tu t’en ailles. Je suis désolée.
— Ne sois pas désolée, Nadia, répondit Grégoire avec une voix douce alors qu’ils se rhabillaient tous deux. C’est toi qui décides et je ne t’en veux pas du tout. Par contre, ...