1. La gérante de la galerie d'art (18)


    Datte: 22/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Suite et fin
    
    Au terme d’une cuisante et énergique claque donnée sur toute la largeur des hémisphères et des cuisses, je m’arrêtai quelques secondes et lui demandai :
    
    « - Êtes-vous prête pour le bouquet final ?
    
    — Oui... » émit sa voix faible
    
    — On ne dirait pas... A vous entendre vous avez déjà eu votre dose... Vous avez la voix et la conviction d’une femmelette... Vous me décevez, je pensais que vous étiez plus courageuse, une soumise plus endurante, plus aguerrie...
    
    — Si... si... j’en suis capable... » protesta-t-elle, avec un faible regain d’énergie
    
    « - Je n’en suis pas très convaincu. Si c’est le cas, demandez avec un peu plus de cran et de force
    
    — Si, si... je la souhaite...
    
    -Tsss... pas comme ça, je ne suis toujours pas convaincu : dîtes à voix haute et forte, intelligible, et convaincante : « je veux recevoir le bouquet final, j’en ai envie »
    
    — JE VEUX LE BOUQUET FINAL, J’EN AI ENVIE... MAÎTRE !
    
    — Voilà qui est mieux. Vous allez recevoir ce que vous méritez... puisque vous l’avez choisi ! »
    
    Et sans la laisser souffler une seconde, mes mains s’abattirent de toutes leurs forces et à tour de bras sur les grosses masses fessières, déferlant comme autant de vagues déchaînées un jour d’ouragan ! Et elle ne put retenir plus de deux ou trois secondes ses cris qui montèrent dans le salon, de plus en plus aigus.
    
    Puis ce furent des plaintes, des supplications, des gémissements déchirants, enfin des petits sanglots étouffés. Elle demanda ...
    ... grâce, les larmes coulèrent, et satisfait, je mis fin à la fustigation.
    
    « - Restez comme ça, et mettez les mains sur la tête ! »
    
    Elle obéit, soumise, conquise.
    
    Mes mains passèrent sur l’intérieur des cuisses, moelleux, doux... et très chaud car je n’avais pas épargné cette zone.
    
    Mais mes doigts montèrent et trouvèrent les lèvres légèrement pendantes du sexe bâillant... et elles étaient toutes gluantes de mouille ! Le jeu avait vraiment plu à la cette grande bourgeoise grasse, à l’air avachi et fatigué... mais avec quel appétit sexuel !
    
    Je caressai l’intérieur de la vulve bien glissante, provoquant des gémissements légers – cette fois de plaisir – je recueillis le maximum de cette sève abondante et visqueuse, et j’insinuai mes doigts dans le sillon fessier, où rencontrant la cupule de l’anus, je déposai tout et commençai à le masser, le lubrifiant avec des mouvements circulaires et sans-gêne.
    
    Mes doigts glissèrent progressivement dans l’orifice, n’y rencontrant aucune résistance, et se mirent à lubrifier l’intérieur du canal, de plus en plus profondément.
    
    « - Chose promise, chose due » murmurai-je.
    
    Elle ne répondit pas. Du moins, pas par des paroles, mais par des soupirs qui ne laissaient aucune équivoque.
    
    Néanmoins, je dis ironiquement :
    
    « - A moins que ça ne vous plaise pas, Madame la sous-préfète... ?
    
    — SI » répondit-elle immédiatement d’une voix rauque.
    
    « - Alors, soit ! Je vais enculer votre gros cul de sous-préfète !
    
    — Hummm... ...
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