1. Camp Valley


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, couple, bizarre, sales, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral pénétratio, fsodo, policier, fantastiqu, roadmovie, amourpass, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... aucune difficulté à la sodomiser. Polly tourna une nouvelle fois la tête, gémissante, implorante, les larmes aux yeux, tant plaisir et douleur se conjuguaient pour mieux la propulser dans un tourbillon d’orgasmes. Car les cris qu’elle poussait désormais étaient d’une ambiguïté inconnue jusqu’alors, ce qui confirma encore la sensation que ma queue n’était plus la même. Mon dard était devenu un pieu insatiable, avide de sensations neuves, enclin à explorer la totalité du corps et des fantasmes de Polly.
    
    Je continuai ainsi à baiser Polly, le torse en sueur et mes mains écartant maintenant ses fesses, lorsque je déchargeai violemment, déclenchant chez elle un spasme qui lui tira un rictus de plaisir précédé d’un hurlement sauvage et soudain. M’écroulant sur son dos, j’eus la sensation de me répandre totalement en elle, ma queue ne cessant de jouir en un flot presque continu. Je sentais le sperme glisser le long de mon membre pour rejoindre mes couilles. Le foutre collait à sa raie. Nous ne faisions plus qu’un.
    
    Polly, elle, remuait des fesses pour profiter au maximum de notre union. La poitrine haletante, elle poussait régulièrement des plaintes afin de me témoigner son plaisir. Ses cheveux tapissaient maintenant mon palais et, le souffle court, je ne cessais de voir en sa chevelure abondante un délicieux refuge.
    
    …
    
    Nous restâmes ainsi un bon quart d’heure, en sueur, prostrés, presque béats. Le silence pour compagne. Un silence qui toutefois, était loin d’être muet. ...
    ... Polly et moi, c’était pour la vie.
    
    …
    
    Ma princesse de sang finit par redresser lentement la tête, les muscles chargés de courbatures. Je l’imaginai aussi épuisée que moi. Elle planta son regard dans le mien, sondant mon amour niché au plus profond de mes entrailles. Puis, les mèches de ses cheveux platine collées sur les joues et le sourire à la commissure des lèvres.
    
    — Alors, cette petite pipe ?
    
    Je gardai un instant le silence. Elle en voulait encore.
    
    — Pourquoi petite ?
    
    Et nous éclatâmes de rire.
    
    * * *
    
    La suite fut tout aussi torride.
    
    Polly se dégagea de mon étreinte et prit mon sexe flétri dans la paume de sa main. Les bras en croix, les doigts perdus dans sa chevelure, ma nuque reposait sur le bord de la table, laissant choir ma tête dans le vide. Polly bâilla à s’en décrocher la mâchoire et je ne tardai pas à sentir l’humidité de sa bouche enrober mon gland. Polly ne fit pas, comme à son habitude, coulisser ma queue. Elle se contenta de la garder en elle, exerçant de temps en temps une légère pression des joues pour mieux m’exciter. Cette technique ne tarda pas à faire son effet puisque je me sentis rapidement durcir dans sa bouche. La salive qui s’écoulait lentement sur mes couilles y participait activement.
    
    Lorsque je fus de nouveau capable de la satisfaire, elle fit progressivement coulisser mon membre dans sa gorge et commença à me sucer avidement en poussant de petits gémissements étouffés. Sa bouche était presque trop petite pour me gober ...