1. La bourgeoise et le marabout (31)


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    En cette fin d’après-midi de dimanche ensoleillé, nous sommes en voiture sur l’autoroute A13, car nous revenons d’un week-end en famille chez les vieux parents de François qui habitent en Normandie. Les deux jours ont donc été particulièrement sages, car il n’aurait pas fallu choquer Monsieur et Madame de Saint Jouy, un vieux couple particulièrement bien implanté dans la vieille et très respectable bourgeoisie rouennaise. Sur le chemin du retour, François a enlevé la capote de notre vieux cabriolet Peugeot 504 Pininfarina de 1971 qu’il aime utiliser quand il fait beau à la place de notre véhicule habituel beaucoup plus récent et performant.
    
    Tout en conduisant, il veille à bien me caresser le haut des cuisses et n’hésite pas à remonter bien haut ma robe lorsque nous doublons des routiers ou des bus. De leur poste de conduite, surplombant la route, ils ont ainsi une vue imprenable sur mon décolleté qui ne cache pas grand-chose de ma poitrine et sur mon petit string blanc presque transparent. Nous avons régulièrement droit à des coups de klaxon et à des appels de phare ; témoignages exubérants de ces professionnels de la route qui doivent certainement souvent se contenter de plaisirs solitaires dans leur cabine le soir sur les aires de repos des autoroutes. A un moment donné, nous doublons un minibus rempli de jeunes blacks qui ont l’air de revenir d’une rencontre sportive. François reste volontairement quelques instants à leur hauteur pour que les jeunes installés sur les ...
    ... sièges de gauche puissent bien me mater pendant que nous dépassons leur véhicule.
    
    La situation semble leur plaire, car deux ou trois n’hésitent pas à se mettre debout devant leur vitre pour me montrer leur sexe tandis que d’autres me font des signes sans équivoque de fellation. Pour les exciter davantage, j’écarte grand les jambes et je glisse ma main dans mon string pour me caresser et les regardant et en passant lentement ma langue sur mes lèvres. Puis, François accélère un peu et nous les laissons derrière nous pour aller en exciter d’autres. Un quart d’heure plus tard, alors qu’il doit être 19h30, François décide de s’arrêter sur une aire de repos, car il a un petit creux. Il se gare un peu à l’écart sous quelques arbres et tandis qu’il se rend à la station pour grignoter quelque chose, je reste dans la voiture, car je n’ai pas faim et je préfère me reposer un peu.
    
    Alors que François n’est toujours pas revenu, voilà que le minibus des jeunes blacks se gare pas très loin de notre véhicule. Ils sont une dizaine à en descendre, quelques-uns s’éloignent vers la station tandis que les autres restent autour de leur véhicule pour fumer une cigarette ou boire une canette sortie de leur sac de sport. Je me fais petite dans notre voiture, mais l’un d’entre eux, certainement adepte des véhicules anciens de collection, s’approche et commence à faire le tour de la 504 en la regardant de près. Lorsqu’il arrive de mon côté, il me dit :
    
    — Bonjour Madame, vous avez vraiment une ...
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